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Pas une seule critique pour ce classique de la bande dessinée ?
"Le Soleil noir" est l’un des albums les plus appréciés de la série, avec "Le Château maudit". Il suffit de rappeler la grande influence qu’il a exercée, par ex, sur l'art de Chaland et Clerc.
C’est le volume idéal pour commencer à lire "Valhardi", puisque Jijé - de retour sur la série qu’il avait créée, après de nombreuses années - effectue un "reboot", en introduisant aussi un nouveau co-protagoniste (le pigiste Gégène).
Le scénario est plaisant, bien que pas mémorable. La première partie est passionnante, grâce aussi à une bonne dose d’humour présent dans les dialogues. Une longue séquence d’investigation dans la campagne parisienne, très engageante, qui n'est pas sans rappeler le début de "S.O.S. Météores" de Jacobs. Dans la deuxième moitie, l’action se déplace sur une île du Pacifique, où Valhardi doit saboter les actions d’un groupe paramilitaire qui voudrait tenter un coup d’État au Japon. L’intrigue est agréable, mais les motivations et les moyens de cette organisation restent assez floues, et il est difficile de se passionner pour de vrai.
Les dessins sont clairement la pièce maîtresse de l'album. Après avoir découvert l’art de Milton Caniff dans l’après-guerre, Jijé commence à l’imiter, et de nombreuses séquences - en particulier celles qui se déroulent sur l’île - semblent issues directement de "Terry and the Pirates" (voir, par ex, la page 34). Les planches, en général, sont vraiment élégantes, et il en résulte l’un des meilleurs albums que Jijé ait jamais dessiné, avec quelques Tanguy et quelques Jerry Spring.
PS : la couverture est géniale ! Elle rappelle certaines couvertures de "Buck Danny" ou "Dan Cooper", mais possède une énergie beaucoup plus grande que les dessins de Hubinon et Weinberg.
C'est bien connu, donner c’est donner, mais repeindre ses volets. En 1956, lorsque Jijé reprend Jean à Eddy (Paape), c’est pas pour repeindre ses volets, mais pour redessiner ses planches. 10 ans ! 10 ans que Jean Valhardi n’a pas revu son père spirituel. Il faut dire que l’inspecteur en assurances revient de loin. De Poldévie ! C’est sûr qu’il n’a pas beaucoup rigolé, mais bon, il a quand même sauvé le monde. C’est pas rien.
Et c’est reparti pour un tour. "T’en veux de l’aventure ? Tiens, en voila" : Brésil, Mexique, Canada, Cassis… A la baguette, le vieux maître le mène.
Mais Gégène, pardon Gene Rush, pique sa crise. D’adolescence. "Yeepee ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Yahou !!..." Bon sang ! Comment mettre un peu de (mine de) plomb dans la tête de ce jeune écervelé se demande notre héro ? Il est temps de s’occuper sérieusement de son jeune pupille. Les complots attendront ! Ce Gégène, c’est quand même une sacrée vedette !
Si Michel et Thierry ont leur "Grand raid", Jean et Gégène ont leur "Grand rush". Chacun son truc. Qui c’est qui va disputer les…500 miles d’Indianapolis ?
Il est de bon ton de jeter l’opprobre sur cette trilogie yé-yé. Au cas où vous voudriez le savoir, sachez que nous ne cautionnons pas ces avis péremptoires d’exégètes grincheux. Vive la vie factice ! Vive la facilité ! Vive Gégène !
Bercé par la BD depuis mon enfance, j'étais passé à coté de Valhardi sans toutefois ignorer son existence et avoir même survolé ses planches ...
Fort des avis précédents, j'ai donc entrepris de me plonger dans Le château maudit ...
Grosse déception ... l'histoire est cousue de fil blanc et comporte des fautes graves comme cet enquêteur de compagnie privée qui menace Valhardi qui disparait du récit sans qu'on sache pourquoi ... et quelques autres licences avec la logique !
Je dis dommage car l'atmosphère est parfaite et typique du genre et le dessin très kitsch !!!
Avec un scénario étoffé et solide et surtout logique c'aurait pu être un album superbe ... je commence à comprendre pourquoi j'ai pu passer à coté !!!
Valhardi nous livre plusieurs enquêtes: le meurtre au bord du lac, où lors de ses vacances, il est témoin d'un crime et aura à innocenter un homme que tout accuse; le camp scout, où avec les enfants du personnel de sa compagnie d'assurances, il devra faire face à une bande rivale; les cargos disparus, où il enquête pour son entreprise sur les mystérieuses disparitions de cargos, corps et biens.
Un héros fort, généreux dans des aventures musclés alliant bagarre, bons sentiments, aviation et voyages au bout du monde, la formule fonctionne bien, et c'est l'évasion la plus totale. Le dessin n'est pas bon, par rapport à ce que l'on voit aujourd'hui, c'est sur, et le scénarion completement naïf. Cependant, pour une BD publiée en 1945, c'est la belle aventure qui est de retour et redonne de l'espoir. A lire absolument pour les fans de BD et de l'histoire de Marcinelle.
On a du mal a comprendre comment Jijé a décidé de saborder cette belle série de la sorte. Rien qu'à la premiere page, on trouve notre (ancien) heros en train de danser le twist avec le famuex gegene... ça montre le niveau de l'histoire ou on verra (tres peu d'ailleurs) valhardi participer à une course de F1 (mais n'est pas michel vaillant qui veut!) completement debridée!
Le classique de la bande dessinée des années 50.
On y retrouve Valhardi dans son vrai métier (enqueteur pour une compagnie d'assurances), envoyé au chateau de Malicorne, sur les traces de Smith, qui a signé un contrat d'assurances vie de l'ordre de 20 millions. Or, une mystérieuse "bête" terrorise le village et menace la vie de Smith...
La couverture a elle seule résume cette aventure: un Valhardi pugnace et décidé, devant un chateau inquiétant sur fond de lune brumeuse, et de nuit bleutée des plus inquiétantes. Cette bd est une bd d'atmosphères. Charlier au scénario sait nous appater, nolus intriguer, nous donner des pistes, et faire vivre ses personnages dans ce huis clos inquiétant. Il n'use (étonnament) pas trop des descriptifs, ce qui rend la bd plus lisible. Les sensations passent a travers tous les personnages de cette histoire qui se lit d'un trait. Le dessin, aujourd'hui "has been", c'est sur, sert l'histoire comme il se doit (l'exterieur- lors de sa présentation - du chateau, et ses interieurs sont superbes). Les couleurs, sombres, bleus et grises sont très bonnes. On est dans l'attente (et donc, un peu dans l'anticipation) magistralement orchestrée. Certes, Jijé dessinait mieux le personnage Valhardi, mais ce "chateau maudit" (paru dans spirou sous le titre "valhardi et la bete") est une reference dans le monde de la bd franco-belge classique.
Fin de l'aventure entamée dans le livre précédent.
De l'aventure, toujours de l'aventure, encore de l'aventure.
Avec un Valhardi qui n'a pas froid aux yeux et qui au coeur d'une démocratie mi-fasciste, mi-populaire "se bat pour la liberté du monde".
On se croirait dans certains de ces films d'espionnage de série B des annés 50. Ils sont le plus souvent méconnus mais méritent largement le coup d'oeil. C'est le cas ici.
Cette fois-ci c'est dans une hsitoire d'espionnage qu'est mêlé Valhardi. Il s'agit de récupérer un brave savant, prisonnier d'une méchante dictature, et dont l'invention pourrait bien rompre le précaire équilibre mondial.
Première partie d'un cycle qui s'achève avec "La Machine à Conquérir le monde".
Une histoire policière de la plus belle eau.
Il s'agit d'un démarquage du Chien des Baskerville (sauf qu'il le monstre est un monstre) et l'hisoire est fabuleusement prenante.
Plusieurs raisons à cela, un nombre de vignettes par page comme on en fait plus et qui la mérite de "densifier l'histoire". Malgré cela la lecture est d'une lisibilité absolue.
Eddy Paape lorgne vers le style de Victor Hubinon et le fait avec un talent consommé. Quant à ses couleurs, elles sont à elles seules l'une des raisons de la qualité du livre.
Un must. Mériterait de figurait dans toute bonne anthologie de la BD franco-belge.
On rentre pleinement dans l'univers de Valhardi dans cet album, c'est sans doute le plus beau