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Je n'ai jamais lu les Tif et Tondu originaux. Et franchement, je ne suis pas sûr de vouloir le faire. Je doute que ça soit vraiment intéressant pour un lecteur d'aujourd'hui, mais je ne sais pas...
Quoi qu'il en soit, la qualité des textes dans cet album est ÉNORME. C'est vraiment très drôle, très percutant comme style d'écriture, j'ai adoré. En fait, Robber écrit comme son frère Blutch, c'est exactement dans le même style.
Le scénario, jusqu'à la cape d'invisibilité, était super. À l'arrivée de la cape, bon, d'accord, j'ai cru comprendre que les Tif et Tondu figuraient parfois des histoires avec des éléments fantastiques. Là où j'ai décroché, c'est avec cette salle qui contient tous les méchants du monde réunis au même endroit? Le super robot?? Et la résolution finale???
Comme Blutch, Robber part un peu dans des délires psychédéliques et ça vient entacher le récit, malheureusement. C'est vraiment dommage, parce que jusque là, l'album était splendide. C'est d'ailleurs la seule histoire publiée de Robber. Pourtant, je crois qu'il a un potentiel incroyable et qu'on devrait publier d'autres de ses histoires. Seulement, il faut rester un peu plus terre-à-terre, les gars. Fixez-vous des contraintes ou quelque chose. Pas d'hallucinations! Pas de délire! Pas de trame incompréhensible!
On est tellement passés proches du chef-d’œuvre...
Je ne suis pas, loin de là, un grand connaisseur de la série d’origine, mais j’avais plutot apprécié les quelques intégrales lues par ci par là. Et j’ai retrouvé dans cette revisite par Robber et Blutch ce qui, sûrement, devait régaler le public du journal de Spirou à l’époque : des péripéties qui s’enchaînent, parfois sans queue ni tête, mais on s’en moque, et dans le scénario, un joyeux mélange d’enquête policière et de fantastique, sans oublier quelques bons mots. De ce point de vue, les dialogues, plus modernes, sont sublimes. Autant, d’ailleurs, que le dessin de Blutch, qui crée des ambiances incroyables.
Alors oui, la fin est un peu précipitée et Choc, même s’il est mentionné, aurait probablement ajouté à la qualité du livre. Mais on sent et on partage la passion des auteurs pour la série. C’est sans doute le principal.
Bon, bon, bon…
Ben ça a fichtrement vieilli, ça…
Les deux premières histoires datent des débuts et les dessins sont… Ben assez laids, il faut le dire… Tif a des pommettes changeantes selon les cases, au point qu’on ne le reconnaît que par son crâne chauve…
Les histoires sont d’une simplicité niaise : hop, on s’enfuit, hop on est promu général, hop ben tiens je t’aime bien tu seras juge… On ne s’embête pas trop avec la logique, la crédibilité ou la cohérence et on passe d’une case à l’autre des ennemis de la République aux Sauveurs, les gens font la révolution parce que pour le pays on mettra désormais 20% d’impôts max…
Bref, ça se lit pour l’histoire de la BD et de Tif et Tondu mais on peut clairement s’en passer.
Ou pour l’histoire courte et plus récente « La Boîte à Tondu » qui n’a rien d’exceptionnel mais offre des dessins plus récent et dynamique dans une histoire bête mais avec quelques bons mots et beaucoup d’action cocasse.
La dernière, « A 33 pas du mystère », a l’inconvénient de faire 4 pages et, si elle est intéressante, elle va très vite et doit caser un mystère et un coupable en très peu de temps…
Scénario improbable et sans intérêt , quand au dessin désolé mais je le trouve d une laideur abyssale Je retourne vers ma collection ancienne sans regret
Troisième tome seulement et pourtant, la qualité des dessins s’est améliorée de façon hallucinante !
C’est beaucoup plus lisible, moins chargé, clair, rond, drôle, agréable…
Troisième scénariste qui, lui aussi, fait avancer les personnages : on n’a plus une histoire décousue mais linéaire, légère et souvent bien trouvée, pleine d’humour, qui nous fait sourire à suivre les deux gugusses dans des situations improbables, de la recherche d’un perroquet au casting, de tout le passage à la caserne (vif et inventif) au final (un peu facile, celui-là).
Bien agréable.
Ok, on fait ce qu’on veut, ils étaient détectives et reporter, ils deviennent vendeur d’aspirateur…
Tondu veut y aller, ne veut surtout pas, y va, ne veut pas rester, ne veut plus rentrer… Il n’a pas les idées fixes, ce garçon, au point de suivre ses potes dans la rue la nuit mais s’arrêter en chemin pour s’endormir sur un banc…
La logique n’est donc pas plus le fort de cet album que du précédent…
Mais au moins, l’histoire est plus cohérente. On a une trame plus solide avec la recherche de ce trésor d’un bout à l’autre et s’il peut y avoir des petites scènes, elle dure une page en général, sont mieux utilisées que dans le tome 1. Il y en a certains qui sont plutôt amusantes, comme la recherche du papier au début…
L’ensemble reste assez gentil et naïf mais déjà plus convaincant sans être encore hyper palpitant.
BD des années 50 qui donne l’impression d’être dans les années 30, j’ai oscillé entre sympa et navrant.
Sympa parce que Tondu qui s’installe au village, Tif qui s’espère détective, quelques petites scènes de « vie courante » fonctionnent bien…
Navré parce que l’histoire n’est pas fluide, on passe d’un morceau à un autre sans logique, comme des bribes d’idées accolées où manquerait le liant. Des gags pas drôles ici et là, répétitifs, nawak comme le cou allongé d’un mètre qu’on fait rentrer en tirant dessus pour qu’il son propriétaire se tire-bouchonne…
L’impression d’être dans une publication de strips hebdomadaire de 1940 à 10 ans près où on a une idée générale mais on s’en tape, l’important c’est le moment présent.
Et ça manque, aujourd’hui, d’une trame plus solide.
Quatrième album de la série dépuérilisée par Tillieux, les deux compères sont aux prises avec des revenants bretons. Pourquoi pas... Mais ?...Mais où est Kiki ? Comme diraient les lecteurs ne s'étant pas dispensés de l’achat des cahiers Spirou. Kiki, comtesse Amélie d’Yeu, portrait tout ce qu’il y a de plus craché de Marthe Keller, comtesse Amélie dans le Diable par la queue de Philippe de Brocca. C’est que suis en passe de l’affirmer au prix d’une longue et scrupuleuse enquête numérico-numérique (date, portrait, topographie, tout) : c’est elle ! C’est bien elle ! Comme s’est dit un jour d’été Michalon en revoyant Mireille d’Arc, le Comédien en revoyant Spectre Soyeux ou Jean-François Copé en revoyant Valérie Pécresse (au choix).
J’imagine les deux compères des deux compères se demander en sortant du film en 69 : et pour le méchant quel nom ? De Brocca… Le Cobra ! Et pour Marthe quel air ?… Hum, désolé. Désolé, mais content d’avoir fait avancer la conscience collective. Comme Adrian Veidt, mais pas comme Michalon ou Jean-François Copé (pas au choix).
Album comportant plusieurs petites histoires de TIF ET TONDU, sans qu'aucune ne soit vraiment transcendante. On est dans une ambiance polar assez réaliste et plutôt noire avec tentative de meurtre sur enfant, poursuites en voiture, etc. Ce n'est pas vraiment ma tasse de thé. Le dessin est plutôt correct mais il n'y a rien de fou.
Suite directe de l'album précédent, "Les phalanges de Jeanne d'Arc", cet album voit TIF ET TONDU poursuivre leur lutte contre un groupuscule d'extrême-droite de la Côte d'Azur aux desseins très discutables. Un épisode sans grande saveur dont le principal intérêt réside dans le fait de voir Tif passer du côté des méchants et se retrouver confronté à son ancien compère Tondu.
TIF ET TONDU, en proie à de graves problèmes financiers, se retrouvent rapidement sur la touche et sont obligés de chercher du travail pour subsister. Dans le même temps, un groupuscule d'extrême-droite sur la Côte d'Azur cherche à réhabiliter le roi de France sur le trône, ce que nos héros vont tenter tant bien que mal d'empêcher.
La teneur très politique de cet épisode, inhabituelle pour une aventure de TIF ET TONDU, est assez étrange et fait écho à la percée spectaculaire du Front National dans le paysage politique français à l'époque où est paru cet album (1988). L'ensemble se laisse lire mais il n'y a rien de vraiment transcendant, si ce n'est la fin très surprenante. A noter que cet album n'est que la première partie d'une aventure qui trouvera sa conclusion dans l'album suivant, "La tentation du bien".
TIF ET TONDU enquêtent sur le vol de différentes parties de Magdalena, considérée par les collectionneurs et antiquaires comme l'automate le plus célèbre du monde. Une enquête qui va littéralement plonger nos héros dans un nouvel univers, au sens propre du terme.
Le début de l'histoire est sympa, avec une bonne petite ambiance polar et quelques fausses pistes bienvenues, mais à mi-album le délire science-fiction devient vraiment trop lourd voire carrément risible. Le dessin, correct mais sans surprise, ne rattrape pas l'ensemble.
TIF ET TONDU décident d'en finir une bonne fois pour toute avec M.Choc mais, n'étant pas d'accord sur la façon de procéder, décident d'agir chacun de leur côté. Une certaine rivalité s'installe même entre eux pour savoir qui le premier parviendra au repaire secret de Choc.
Encore un album agréable qui confronte nos héros à Choc, véritable génie du Mal qui tente dans cet opus de se débarrasser des pires sociétés criminelles de la planète pour assoir encore plus la domination de la Main Blanche sur l'univers du crime.
Un album assez détonnant car on assiste pour la première fois dans la série à un vrai clash entre TIF ET TONDU qui se retrouvent dès lors à se tirer la bourre plutôt qu'à s'entre-aider et surtout car l'album se termine par la disparition brutale de Choc.
Reste une question ... Choc est-il vraiment mort ?
Choc a pour projet de déclencher une guerre nucléaire mondiale en fabricant de l'uranium 235 enrichi et en le vendant à prix d'or à diverses organisations terroristes. TIF ET TONDU vont tout faire pour l'en empêcher.
Une histoire sympa de T&T qui se laisse lire malgré de grosses incohérences dans le scénario (notamment au niveau de la manipulation de futs d'uranium ou de la destruction de minerais radioactifs sans aucune conséquence pour les personnages ou l'environnement !). Retrouver nos héros aux prises avec ce scélérat de M.Choc est toujours un plaisir et voir Tif jouer les lover auprès de la jolie Félicita et se prendre râteaux sur râteaux est particulièrement rigolo.
Album qui marque le retour de Choc dans la série, après dix-neuf albums et seize années d'absence, et qui prolonge la série vers le domaine du fantastique.
Un retour réussi, avec un méchant toujours aussi machiavélique, mis en scène dans une bonne petite histoire, à condition bien sûr d'adhérer au délire science-fiction.
Je n'ai été absolument pas convaincu par cette ré-interprétation des célèbres TIF ET TONDU. Si le dessin très vivant de Blutch est intéressant pour donner une nouvelle vision de ces personnages et de leur univers (les décors urbains et les ambiances nocturnes et pluvieuses sont magistralement retranscrites par Blutch), en revanche au niveau de l'intrigue c'est du grand n'importe quoi, entre des éléments "fantastiques" particulièrement ridicules (le robot tueur, la cape d'invisibilité) et des personnages grotesques (notamment les méchants).
Un album qui ne tient que par la qualité de ses dessins et de ses dialogues, pimentés à souhait.
Il m’a fallu du temps pour ouvrir cet album… On s’attaque au mythe, j’ai connu mes premiers pas de lecteur de BD avec Tif et Tondu il y a longtemps maintenant… Et j’avais si peur d’être déçu.
Je ne suis pas déçu… sans être complètement emballé non plus.
J’ai retrouvé mes deux héros avec plaisir, l’histoire est rythmée, le dessin rend bien l’ambiance des années 80 tout en gardant le charme des histoires de Tif et Tondu : des personnages secondaires aux gueules d’enfer, des jeux de mots en veux tu en voilà (trop parfois), de l’humour potache, un soupçon de surréalisme et de fantastique (cape d’invisibilité et robot tueur)… Tout ça fonctionne plutôt bien et je reconnais que Blutch et son frère ont fait du bon boulot. Mais le scénario tombe un peu à plat… La fin est rapide et ouvre des perspectives pour un autre album mais on manque un peu d’explications sur un personnage clé… je n’en dis pas plus. A confirmer donc !
TIF ET TONDU sont embarqués contre leur gré dans une rocambolesque histoire d'espionnage. Ils se retrouvent en effet un peu par hasard en possession d'une drôle de poupée que plusieurs puissances convoitent. Le début des ennuis pour nos deux détectives ...
Après cinq ou six albums résolument tournés vers le mystère et le suspense, ce titre revient en quelque sorte à l'insouciance naïve des premiers épisodes. Un album où s'enchaînent sur un rythme effréné des péripéties beaucoup trop rocambolesques pour être crédibles et où les méchants sont tous plus ridicules les uns que les autres. Un épisode clairement dispensable à mon sens.
Un chimiste et un ingénieur français de renommée internationale sont mystérieusement enlevés. TIF ET TONDU mènent l'enquête.
Un épisode qui fleure bon les romans d'espionnage et la guerre froide. Les enquêtes angoissantes de nuit sous un terrible orage, le lugubre laboratoire délabré, la base secrète souterraine, des héros ensevelis vivants (!) , l'énigme de la trajectoire de ces fameuses flèches ... tout concourt à créer une ambiance pesante, pleine de mystère.
En outre le mystérieux méchant de cet épisode permet d'éviter les apparitions trop récurrentes de M.Choc dans la série et donc de lasser les lecteurs ... même si la toute dernière case de cette histoire s'avèrera bien surprenante !
Le diabolique Monsieur Choc envisage de dérober plusieurs chefs d'oeuvres au Louvre. TIF ET TONDU vont tenter de l'en empêcher.
Une aventure pas très passionnante, malgré la présence de Choc. C'est d'ailleurs l'un des albums de la série où le génie maléfique de ce personnage est le plus évident : tous ses stratagèmes sont plus ingénieux et machiavéliques que jamais, au point que nos héros sont constamment bernés et totalement largués du début à la fin de l'album.
TIF ET TONDU sont invités sur la Côte d'Azur par un éditeur parisien qui souhaite les rencontrer pour publier leurs aventures. Mais en arrivant à sa villa, ils trouvent celle-ci déserte. Bientôt tout un tas de phénomènes étranges apparaissent. Que signifient tous ces mystères ?
Album agréable à lire, qui bénéficie d'une bonne ambiance, un peu inquiétante, et d'un scénario très prenant. La première partie de l'album, pleine de mystères, est meilleure que la seconde, un peu plus convenue. Mention spéciale aussi pour les décors méditerranéens de Will extrêmement réussis, qui créent un cadre d'aventures très agréable.
Dernier tome de la série, "Le mystère de la chambre 43" est un très bon album. Un mystère initial des plus énigmatiques, une ambiance oppressante flirtant limite avec le fantastique, des décors de station de ski superbes, des dessins très dynamiques, une enquête assez corsée ... Dommage que la série se soit arrêtée car depuis le tome 42, le duo Lapière/Sikorski faisait vraiment du très bon boulot.
Une bonne aventure de TIF ET TONDU au goût de mélange entre "L'île noire" (Hergé) et "Le repaire de la murène" (Franquin). Pas très original, mais ça se laisse lire avec plaisir. Les séquences de bagarres sous-marines sont accrocheuses, il y a un bon petit suspense, mais la résolution du mystère manque un peu de clarté. Les dessins sont très bons.
Dans un petit village de la campagne belge, trois vieilles peaux que tout le monde déteste, riches comme Crésus, sont retrouvées assassinées. TIF ET TONDU mènent l'enquête.
Un pur polar au scénario très bien tourné, des dessins impeccables et quelques séquences mémorables (dont une course-poursuite en voiture qui s'étale sur sept pages entières !). Un très bon album, pour moi le meilleur de la période Lapière/Sikorski.
L'un des meilleurs du duo Lapière/Sikorski. Les décors et le climat de cet album sont particulièrement plaisants : la Haute-Normandie hors-saison, la météo pourrie, les hautes falaises sur la mer, l'ambiance du port ... TIF ET TONDU enquêtent sur une série de meurtres dans un petit village du bord de mer, qui semblent trouver leur cause dans un fait divers survenu vingt trois ans en arrière.
Les dessins sont bons et l'album se lit avec plaisir.
Banale histoire d'incendie à laquelle sont mêlés nos héros, sans enquête particulière. Ou plutôt, l'enquête que mènent TIF ET TONDU part en fumée dès le début de l'album pour trouver sa conclusion à la toute dernière page de manière extrêmement fortuite. Bref, le scénario n'est pas hyper passionnant mais l'album se laisse quand même lire, notamment parce que les dessins sont bien maîtrisés, dans un style franco-belge pur et dur (plus "ligne claire" que "gros nez") agréable.
Avec le tandem Lapière/Sikorski, finies les enquêtes exotiques à l'autre bout du monde, les aventures teintées de fantastique, la lutte acharnée contre la redoutable organisation de la Main Blanche ... Place désormais à des enquêtes de terrain plus réalistes, où les héros ont des préoccupations plus terre à terre et les méchants sont des criminels ordinaires. Ce recentrage de la série vers une ambiance polar plus réaliste n'est pas pour me déplaire, même si l'humour en pâtit forcément.
Ce premier tome du nouveau duo d'auteurs est toutefois très décevant. Déjà, il s'agit de quatre histoires courtes réunies en seul album, et non d'une grande aventure de TIF ET TONDU. Surtout, l'ambiance est particulièrement glauque : ça parle de prise d'enfants en otage, de maltraitance de nourrisson avec tentative d'assassinat puis abandon dans un sac poubelle sur l'autoroute (!) ... La lecture m'a même dérangé par moments. Quand je lis un TIF ET TONDU, c'est pour me détendre avec une petite histoire policière légère et pas prise de tête, avec de l'action amusante agrémentée d'un peu d'humour. Pas quelque chose qui va me flinguer le moral.
Bref, je n'ai pas du tout accroché à ce premier Lapière/Sikorski, d'autant que le dessin est loin d'être pleinement maîtrisé. Heureusement les albums suivants seront bien meilleurs.
Derrière un titre que je n'ai jamais compris (si quelqu'un a la réponse et veut bien m'expliquer ...) se trouve une aventure plaisante de TIF ET TONDU. Nos héros sont - encore - aux prises avec le diabolique Monsieur Choc, qui leur en fait voir dans cet album de toutes les couleurs (et leur fait voir également du pays !). Les idées de Choc pour décrédibiliser TIF ET TONDU sont ingénieuses, l'ensemble se lit bien mais la résolution de l'intrigue est un peu expéditive.
Meilleur que le précédent, grâce à une atmosphère un peu plus angoissante et surtout un bon scénario qui multiplie les fausses pistes et entretient bien le mystère. Au final, la principale question demeure : qui est Choc ? On croit avoir la réponse à la dernière page, mais l'album suivant montrera que l'on se trompait ...
L'album date des années 50, avec tout ce que cela peut comporter comme limites, donc soyons indulgents.
Le dessin est correct pour l'époque, bien représentatif de ce qui ce faisait à cette période; sans être fou il demeure sympa.
Le scénario a le charme de ses incohérences : les péripéties toutes plus rocambolesques et improbables les unes que les autres s'enchaînent sur un rythme soutenu (TIF ET TONDU font même involontairement un petit tour dans l'espace à bord d'une fusée ... !) mais l'ensemble est vraiment peu réaliste.
Cet album vaut néanmoins le détour car c'est dans cet opus qu'apparaît pour la première fois Monsieur Choc - criminel d'envergure internationale et sorte de "génie du Mal" comme peut l'être un Olrik ou un Rastapopoulos - qui sera l'ennemi numéro 1 de nos héros tout au long de la série. Pris en tant que tel, l'album est par contre assez faible.
Bédé haletante qui file à cent à l'heure dans les rues de Paris. Un scénario plein de malice pour qui sait lire, au service du Dessin de Blutch. Mention spéciale aux dialogues, épatants! et aux décors, tardiesques!
Une enquête banale de Tif et Tondu bien menée mais sans grand relief ni intérêt. On lit et on oublie tout aussi vite...
Il y a un air de déjà vu (Le roc maudit) ou des malfrats tentent de faire croire à leur mort après un braquage. Puis un concours de circonstances amène nos deux héros à soupçonner que les choses ne se sont sans doute pas déroulée telles qu'il parait...
Quelqu'un peut me dire où est le bon scenario en question car pour moi c'est le néant total cette histoire par contre je suis agréablement surpris par le côté visuel.
Le dessin fluide et dynamique de Blutch qui, sans chercher à singer l'inimitable Will, respecte parfaitement l'esprit de la série et constitue une savoureuse réinvention. Blutch est plus qu'un digne héritier de l'école de Marcinelle : il s'y inscrit tout en imposant son style. Signalons aussi les merveilleuses couvertures des différentes éditions qui nous plongent directement dans un univers à la frontière de la rêverie.
Un bon scénario et une atmosphère polar à la Tillieux très bien rendue. On notera également des dialogues savoureux et un esprit de la série bien respecté. Un léger bémol sur certains dessins mais rien de grave. Une bonne surprise de ce début d'année
dessin insupportable,scénario in digent,l'art et la manière de prendre les gens pour des imbéciles....ressucitez-nous Will et Rosy
Aaaah! l'excellente surprise que voilà!
Et dire que j'hésitais à le lire, imbécile que je suis parfois. Parce qu'il ne fallait pas toucher à Tif et Tondu. Ah non! ... Oui mais.... on voit rapidement que les auteurs ont saisi le truc par le bon bout. Du respect d'un côté, de l'inventivité de l'autre. Ce n'est pas à une imitation plus ou moins adroite à laquelle on a affaire comme pour les reprises de Blake et Mortimer, non, il s'agit là d'une respectueuse réinvention.
Résultat: un album qui se lit avec un vif plaisir, qu'on connaisse ou non les personnages. Car les dessins épatants de Blutch sont au service d'un récit habilement construit, émaillé de dialogues qui brillent comme des néons sur les grands boulevards un soir de pluie. Un très beau travail qui réclame d'autres albums.
J'ai acheté ce titre en 3 cahiers n&b car j'attendais cette reprise avec intérêt (Il faudrait songer à regrouper ces éditions).
Contrairement aux avis précédents, j'ai trouvé l'histoire insipide, sans queue ni tête, le scénario brouillon, les dialogues plutôt faciles et le dessin moyen.
A éviter donc.
Lire ce livre: un vrai plaisir! Le scénario et les dialogues sont savoureux au possible. Le dessin ainsi que la mise en planche donnent au récit une vitalité rare.
Preuve que c'est une BD hors norme, on peut la lire, la relire, la re-relire... on découvre toujours quelque chose de nouveau dans le récit ou le dessin.
Un pur joyau!
Les dessins sont magnifiques. Les dialogues (surtout entre Tif et Tondu) sont savoureux. Ils font penser un peu à ceux de M. Tillieux dans Felix et Gil Jourdan. Ils sont renforcés par un scénario volontairement quelque peu baroque, qui accentue ce côté vaudevillesque et met en valeur les répliques. C’est là l’intérêt de l’histoire.
Inutile donc de se plaindre du dessin ou du scénario (au fait les scénarii des Tifs et Tondu, hein, hum, bon ….), ceci est une œuvre hors-série. Vous êtes classique ou pas, vous aimez ou pas.
Malheureusement j'ai exactement le même avis que Cellophane : Cette histoire est brouillonne et difficile à lire. La magie des albums de Will et de ses différents scénaristes n'est pas du tout là. C'est un album sans intéret
J’ai beau entendre depuis ses débuts que Blutch, c’est génial, je n’arrive absolument pas à me faire à son trait brouillon, fouillis, chargé.
Si j’aime plutôt bien Tif et Tondu, je ne suis pas rentré du tout dans l’histoire.
D’une part pour ces dessins que je trouve déplaisant.
D’autre part pour l’histoire, que je trouve complètement décousue. Ça part dans tous les sens, une réunion de méchants, un type qui veut se venger, un enlèvement, une invention trop géniale…
Ni humour ni polar, les scènes se suivent parfois sans logique.
Le tout ne m’a absolument pas inspiré – si ce n’est l’idée de rechercher mes vieux albums…
Pour moi, l'un des meilleurs si pas le meilleur des Tif et Tondu. Une ambiance inquiétante parfaitement retranscrite et un scénario très bien élaboré. On ne s'ennuie pas une seconde durant ce tome. A lire absolument
Il existe une autre édition, broché, avec en 4 eme de couverture= en 1er N° 4 et en dernier N° 29. Ed de 1978
La reprise de la série par Lapierre et Sikorski n'était pas si mauvaise que ça, contrairement à ce que j'aurais pu croire. N'étant ni un fan de Tif et Tondu en général, ni de Will en particulier, je n'ai absolument aucune nostalgie de la série classique.
Je trouve même que le cantonnement pur et simple au polar est nettement plus digeste que certains albums fantastiques d'autrefois comme le très chiant "Magdalena" par exemple...
Et puis en ce qui concerne l’histoire de cet album, qu'il est bon de couper court avec la morale à papa ! Le meurtre des trois abominables vieilles peaux n'est regretté par personne, ni par les différents protagonistes (excepté le fils de l'une d'entre elles), ni par les auteurs, dirait-on !
une vieille aventure des deux héros Peu rééditée parla suite elle est très intéressante et, personnellement me replonge dans les lectures de mon enfance. Merci
L'ambiance des cotes anglaises est sympa. L'histoire un peu farfelue reste néanmoins appréciable. Tif et Tondu toujours au rendez-vous.
Lapière et Sikorski, on perd en saveur, en inventivité, en humour etc... Ici, il s'agit de plusieurs histoires, intéressantes à la base mais décevantes lors du dénouement. Des enquêtes minimalistes où l'on ne reconnait plus l'univers de T&T.
Tif et Tondu se retrouvent dans de sacrées situations. Ici, nous sommes dans une atmosphère de campagne fantôme tout à fait captivante. Je recommande chaudement.
Une bonne intrigue, ça tient la route même si les évènements finaux m'ont semblé exagérés. Malgré ça je la relirai avec plaisir, c'est du bon Tif et Tondu