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"La Survivante" est une série originale, car elle mêle deux courants peu compatibles entre eux, science fiction et érotisme. "Druuna" de Serpieri s'est déjà essayé à ce mélange des genres, mais n'a pas su me convaincre sur toute la ligne. On retrouve dans les propos de "La Survivante" des items similaires : apocalypse, chaos, femme fatale, manipulation mentale. Mais il faut avouer que Aude, contrairement à Druuna, possède un caractère plus humain. Ainsi, au travers d'un scénario simple, on suit les aventures de Aude : femme, mère et un des derniers êtres vivants sur notre chère planète Terre. Cette dernière est rongée par une attaque/guerre nucléaire de grande ampleur et Aude en est (presque) la seule survivante, en subissant les affres de Ulysse, un robot dernière génération qui estime que l'humain est simplement un sujet expérimental (un rat de laboratoire en somme). Le scénario vaut ce qu'il vaut, mais il arrive à maintenir un certain niveau de cohérence permettant à la série de 4 tomes de proposer des retournements sympathiques. La partie érotique est selon moi dispensable, même si les biais sont moins prononcés que "Druuna", l'instinct sexuel étant une composante de l'espèce humaine, mais certaines scènes ne sont pas justifiées sexuellement, mise à part pour la beauté des corps et le dessin de Gillon, très organique et réussi, hormis les couleurs d'un autre temps. Si le T1 et T2 construisent le scénario de manière durable, le T3 et surtout le T4 (dernier tome) se trompent de direction selon moi ; je n'ai pas accroché a cette fin expéditive et plutôt facile.
Je ne suis pas fan des anciennes séries mais je me devais de lire la survivante car j'aime beaucoup le trait de Gillon. Là encore, il ne déçoit pas car le talent est présent. J'ai profité d'ailleurs de la réédition spéciale de ce titre en intégrale.
Par contre, au niveau du scénario, c'est malheureusement assez désuet, voir totalement dépassé. Même dans le contexte de l'époque de parution, cela faisait peu crédible. Il y a des maladresses dans la construction du récit que l'on peut repérer. Par ailleurs, l'héroïne est véritablement insupportable et on ne s'y attache pas vraiment.
Les scènes de sexe ne m'ont pas dérangé même si on ne peut pas dire qu'elles furent torrides. Il y a un côté assez adulte qui s'assume. Racoleur peuvent penser légitimement d'autres.
Bref, une œuvre inégale où le scénario fait un peu défaut.
Cet album est la démonstration que l'on peut faire de la BD versant allègrement dans l'érotisme torride (aux confins de la pornographie) avec de superbes dessins et, beaucoup beaucoup plus rare, avec un scénario solide et original !
Type d'oeuvre: B(aise) D(essinée).
Résumé: l'apocalypse nucléaire mondiale n'épargne qu'une française jeune et "sexy". En véritable "survitvore", elle choisit alors de se vouer à ses seuls seins pour combattre sa détresse et sa solitude, aidée d'un robot. Rapidement cependant, la machine voit son comportement s'altérer de manière inquiétante... Dès lors, qui baise qui ?
Avis:
- dessin: très beau. Ce qui permet de sauver cette bd d'une complète nullité.
-scénario: néant. Prétexte. Part en rut libre dès la seconde page. Dialogues pénibles à lire, situations et péripéties incohérentes (un robot du Crillon à l'armement et au blindage militaire, pouvant utiliser à son profit l'ensemble du pouvoir robotique mondial, l'absolue disparition de tout être humain sur toute la planète, embarquement et décollage en fusée...), dénouement au lyrisme mièvre. On sent l'application de l'auteur à réunir tous les ingrédients possibles et imaginables du "sexe en vrac" pour assurer la réputation d'une oeuvre grâce à l'effet de scandale: baise machi-nique, femme se faisant tentaculer...
Idée de départ géniale gâchée par un traitement trop fruste
Oeuvre réservée à un public facilement ébranlé.
http://bdcritix.over-blog.com/#
Contrairement à ce que je craignais ce dernier volet est le plus intéressant, à mon avis, surtout à la fin avec les magnifiques pages de la fin triste mais pas sans espoir (snif!)
Evidemment, quelques inévitables scènes de sexe cru émaillent encore ce tome, mais la philosophie qui s'en dégage atteint enfin son but. Il était temps!
J'estime que Gillon a fait d'autres oeuvres bien plus intéressantes, mais comment ne pas lui pardonner avec le sublime coup de crayon qu'il a ?
Et on continue dans l'invraisemblance et le scénario prétexte à scènes de cul!
Voilà que Jonas et sa mère pilotent une navette spaciale pour rejoindre une base en orbite, afin d'échapper aux affreux cybers qui prétendent ne rien connaitre des émotions humaines mais qui réagissent exactement comme eux !
Comprenne qui pourra...
L'album est présenté comme une parabole de la déshumanisation du monde. M'est avis qu'il est plutôt centré sur la libido de son auteur...
Ouille ! Rien ne va plus ! Le premier tome n'aurait jamais dû avoir de suite.
Un gamin de 8 ans qui raisonne comme Paul Gillon!
Chez Albin Michel, le monde appartient exclusivement aux adultes...
Aude qui prend son pied avec une créature inconnue! On se croirait de retour chez les Naufragés du Temps!
Heureusement que tout ça est fort bien dessiné! C'est déjà ça.
Bon! le dessin de Gillon est vraiment magnifique et on a là graphiquement un album sublime. Gillon est un grand pro question dessin, et il n'y a là rien à lui reprocher.
Quant au reste...Un scénario-prétexte pour amener des scènes de cul! Un robot avec une bite ! Un robot jaloux d'un homme ! Des fadaises bien dessinées, en somme !...
Retour sur cette bonne vieille planète Terre, direction le Crillon !
Pas davantage d'histoire que précédemment. Du coup, Aude se souvient comment elle froissait les draps à l'époque des hommes membrus.
Bon, c'est tout. Ce n'est pas assez et c'est faible !
La série partait sur un chef d'oeuvre, se termine sur une pantalonnade mais a du soigner quelques comptes bancaires : ceux de Gillon et de l'éditeur.
Aude et Jonas fuient la terre et finissent par rejoindre un satellite habité par des humains qui passent leur temps en copulant joyeusement (enfin pas si joyeusement d'ailleurs !).
Les scènes de sexe permettent de rajouter des pages mais l'histoire est à peine (mais vraiment à peine) moins creuse que celle du tome précédent.
A part cela que le dessin de Gillon est beau !
Aude a eu un fils, Jonas, et vit toujours malgré tout avec Ulysse et ce dans un Paris toujours aussi désert.
Comment surfer sur la vague du succès en réchauffant de vieilles platitudes ?
Exercice impossible, ça vent certes mais cela a du mal à se lire tant le scénario est vide. Notamment de sens.
Lors de sa sortie l'album provoqua stupeur et admiration.
Jamais le dessin de Paul Gillon n'avait été aussi beau. Jamais le thème n'avait paru aussi peu passionnant. Aude est l'unique rescapée d'une catastrophe qui a semble-t-il éliminé tous les humains de la terre. Elle ne doit son salut qu'à la plongée qu'elle effectuait à ce moment là.
Ne restent sur terre que des robots et Aude va vivre avec l'un d'eux.
Sur un sujet aussi ingrat on pouvait redouter une bonne dose d'ennui. Il n'en est rien. C'est passionnant et même par moment très chaud. Quant à la fin, je ne vous dis que cela !
Je possede cet album en 2 exemplaires mais avec une couverture interieur differente et un depot légal au 11/86