Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Ben c’est toujours pareil, hein ?
Alors l’avantage, c’est qu’on sait à quoi s’attendre.
L’inconvénient, c’est qu’avec le temps, on a vu un paquet de gags et qu’il faut qu’il soit ciselé pour être convaincant…
Plusieurs fois, je me suis dit « mouais », ça marche pas trop…
Alors l’ensemble est amusant et on trouve ce qu’on vient y chercher !
Mais depuis 22 tomes, j’ai appris à aimer les gags subtils, auquel on ne s’attend pas, et au 23ème, ça devient plus difficile de surprendre…
La lecture reste agréable et rapide.
En fait, je lis les opus dans Spirou.
Une page par semaine, de temps en temps, à feuilleter comme ça en passant, ça marche, c’est drôle.
A s’enquiller d’un coup, ça doit être long…
L’imagination est certes là, des fois pas intéressantes, des fois bien trouvée.
Mais depuis le temps, on a largement dépassé le moment de la surprise et on regarde ça comme une carte postale qu’on reçoit d’une connaissance partie en vacances : c’est sympa sur le coup et après, ben on met de côté et on oublie…
Pas désagréable mais je serais bien en peine de raconter ne serait-ce qu’un seul gag…
Qu’est-ce qu’on peut dire de neuf au vingt et unième tome de Game Over qu’on n’a pas déjà dit avant ?
Et pourquoi s’embêter à chercher quoi dire d’original quand les auteurs se bornent à tourner ad libitum une idée basique (un héros ne réussit pas à sauver la princesses) ?
On sait à chaque fois que la tentative échouera, elle échoue, tada.
Reste à savoir comment ou pourquoi.
Des fois, c’est drôle, des fois, c’est idiot…
Distrayant sans plus.
Nouveau tome, mais formule classique. Ce n'est pas grave, on sait ce qu'on va retrouver dans l'ouvrage et encore une fois Midam ne nous déçoit pas. Il propose les pires confrontations possibles avec les Blorks, les pièges les plus horribles à notre petit barbare et à chaque fois, quand on pense qu'il va réussir, il y a un évènement déclencheur qui fait nawak, que ce soit les blorks plus intelligents que de raisons (même si utiliser ses condisciples pour faire mal à l'autre est plus flippant qu'autre chose) ou bien la princesse, plus bête et instinctive que raisonné, provoque la défaite de notre héros. C'est une lecture rapide, mais toujours aussi plaisante et je comprends toujours autant pourquoi elle m'inspirait, du moins le personnage, les aventures les plus folles pour mes playmobils quand j'étais enfant ^^. En tout cas, si vous aimez le muet, les gags simples, l'univers de Midam, alors vous ne serez pas déçu avec le nouveau tome.
La série qui est genre toujours la même.
Je lis presque plus pour voir si je suis convaincu par l’idée cette fois-ci ou pas (une fois sur deux environ) que pour me marrer.
Mais ça reste efficace malgré la redondance.
Série dérivée de Kid Paddle . Nous avons là un recueil de gags en une planche mettant en scène un personnage de jeux vidéo fonçant invariablement dans les pièges cruels disséminés sur son parcours.
Les sketches mettent en scène le barbare des jeux vidéo de la série mère. Une BD dénuée de dialogue. Seule la gestuelle et les mimiques produisent l’effet comique. Du gore burlesque!
Il s'agit d'avancer sur un parcours, de combattre les blorks (de répugnantes créatures boursouflées et baveuses), de sauver la princesse et de déjouer les pièges tarabiscotés et les coups fourrés qu’ont tendus les concepteurs de jeux.
Cela vous dit une petite partie ? Pas moi en tout cas ! Cependant, mon très jeune fils adore. Alors, pour faire plaisir, achat recommandé mais pas indispensable si vos enfants ne le réclament pas.
Au 19ème tome, il n’y a plus grand-chose à dire sur une série qui n’évolue pas…
On a l’impression d’être coincé dans la même histoire sans fin…
Et pourtant, ça marche, comme les épisodes de Sitcom bien construit…
L’histoire en une page est toujours efficace par des dessins expressifs qui évitent les dialogues.
Il y a toujours une idée plus ou moins tordue – qui est plus ou moins drôle et réussie…
Mais comme les blagues de Toto, y’a jamais de quoi exploser de rire, ça ne fait pas de mal pour autant et, parfois, il y a une idée qui sort du lot…
Ça passe, quoi…
On n’arrête pas le jeu.
C’est comme un plaisir coupable : 18 tomes que c’est la même chose et qu’on connaît la fin de la page…
Et pourtant, ça marche ! Plus ou moins inspiré ou bien trouvé, mais une efficacité dans les histoires muettes !
Prenez les mêmes, secouez, recommencez…
Une impression de déjà-vu ? Normal…
Mais toujours efficace.
Ok, il faut reconnaître que ça tourne peut-être en rond, les gags sont à la fois originaux et déjà vus, c'est la base, mais il reste des petites surprises et toujours beaucoup de plaisir à suivre ce Game Over avec ces dessins ronds efficaces et expressifs.
Reconnaissons à Midam son talent de créateur pour confectionner de nouvelles scénettes pour son petit barbare et sa princesse.
Cependant, cette collection est réservée au fan ou au collectionneur (c'est le cas de mon fils), car elle a peu d'intérêt.
Ces BD se "visionnent" en 5 minutes et vous pouvez acheter n'importe quel tome vous y trouverez la même recette.
L'idée originale d'offrir une série à l'avatar de Kid Paddle est devenue une farce commerciale...
Lecture toujours divertissantes des aventures du petit barbare. Certains gags sont plus surprenants ou meilleurs que d'autres... Mais globalement, l'album enchaîne les variantes de l'immuable thème de la série.
Cette BD est la pire, et de loin, de la série. Et je suis fan à mort de Game over. Mais la NON, c'est pas possible. En plus il n'y a pas de 7.
Une nouvelle fois nous retrouvons l’infatigable petit guerrier barbare de Kid Paddle empêtré dans ses aventures virtuelles tragi-comiques, et une nouvelle fois, le plaisir de lecture est au rendez-vous.
Sound of Silence a beau être déjà le sixième tome de la série Game Over, le scénario a beau être d’une simplicité confondante (suite sans continuité d’aventures drôles à raison d’une par page) et mettre systématiquement en jeu les mêmes « ressorts » tragi-comiques selon un schéma bien rôdé (découverte d’un moyen de progresser dans le jeu qui semble parfait dans un premier temps, effets avantageux dans un second temps, soudaineté des « effets secondaires » ou révélation des imprévus dans un dernier temps), le sourire spontané est toujours au rendez-vous quand arrive le dénouement.
Les points forts de la « recette » Game Over sont toujours présents :
- Réussite particulière de l’illustration de couverture.
- Un dessin par ailleurs élégant, parfaitement adapté (décors, expressions et attitudes de la princesse, du petit barbare, des monstres…).
- Une mise en scène efficace ménageant souvent un effet de surprise totale.
- Un « fonds » de gags sans cesse renouvelé.
Enfin, les premières pages d’introduction et leur séquence de dialogues savoureusement loufoques (victoire d’Horace qui arrive à la conclusion des décapsuleurs en or) offrent un plaisir supplémentaire au lecteur, en mettant en scène les héros de la série Kid Paddle.
Quelques petites choses décevantes tout de même :
- En haut de chaque page est figuré le petit barbare, malheureusement toujours dessiné dans la même pose, alors qu’il aurait pu être amusant pour le lecteur de scruter au fil des pages des modifications d’attitude et d’expression.
- Au terme de chaque séquence est dessinée une case « Game over », dont le traitement est fort inégal. La case peut en effet être particulièrement réussie, illustrant rétrospectivement le « ressort » principal du gag sous un jour nouveau et imagé (cf le coupe-ongle, p.39) comme elle peut être totalement ratée, ne faisant que répéter lourdement ce qui a fait le gag, et que le lecteur a parfaitement en mémoire sans avoir besoin d’en avoir la redite (p. 32 par exemple).
- Le coup du « bisou » final assez « faible » à mon sens, comparé à la tenue du reste de l’album.
Une lecture donc divertissante, pour petits comme pour grands, procurant plaisir simple et bon moment.
http://bdcritix.over-blog.com/
Enfin Midam et Adam se lâchent. Cela donne une série gore désopilante. Ils se rapprochent tout doucement de l’humour noir (rouge ici ?) des Idées Noires du grand Franquin, le cynisme en moins, s’agissant d’un univers fictif de jeu vidéo où tout est permis. Cette série gagne en qualité au fur et à mesure des albums. Vivement le prochain !
Spin off de la série Kid Paddle, cette série basée sur un personnage de jeu vidéo fictif ne décolle pas. A peine quelques sourires sont-ils esquissés à la lecture de certains gags. Finalement, je préfère le barbare à dose homéopathique dans la série mère.
Après avoir "séjourné" dans les aventures de Kid Paddle, le Petit Barbare a désormais droit à sa propre série. On retrouve tout le charme des aventures de Kid Paddle : très "gore" à souhait. Une très belle BD dont on espère qu'il existera une suite.