Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
Ça y est voyant sans doute que les courbes de vente du comics plongeaient, les éditeurs ont décidé de faire une tour à Pellucidar. Mais c'est tellement bien fait et tellement crédible qu'on se croirait sur la planète de Peter Pan, avec con coin aux Pirates, aux Peaux-Rouges, etc.
Mieux on a l'impression d'être à Disneyland.
Les lecteurs américains ont mis les pouces; nous aussi.
Tarzan méritait mieux que cela et les lecteurs aussi.
Le 2ème tome offre le même lanque d'imagination que le premier. Tout juste notera-t-on à la fin la présence d'Abdulharazad, un adversaire à la hauteur de Tarzan.
Allier le mythe de Tarzan à la puissance du pinceau de John Buscema , en voilà une bonne idée. Surtout quand la plume est tenue par Roy Thomas.
Oui mais voilà, les deux premières aventures (c'est un recueil du comics américain) sont affligeantes de médiocrité (je ne parle évidemment pas du dessin) puisqu'on a droit à un Tarzan qui se mesure à un lion ou un gorille ... oh surpise !
"L'autel du Dieu Ardent" est déjà plus conforme à ce que l'on attendait mais la suite retombe dans le manque d'originalité totale. On aurait aimé que Buscema nous entraîne dans le monde de Pal U Don, Pellucidar ou Ophir.
Niente ou presque.
Comme disent nos amis shakespeariens : Much ado about nothing