Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
- de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
- d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.
L'histoire est la suite directe de l'album précédent, qui reprend exactement là où nous étions arrêtés.
On est sur un bon album, dans la droite ligne directrice de la série, qui ne perd pas en qualité à mon sens.
Le graphisme, le découpage de Philippe Aymond sont toujours aux petits oignons, la mise en couleurs est elle aussi très réussie.
L'histoire se suit bien, se lit très bien. C'est fluide, bien raconté, bien amené.
On est vraiment sur ce qu'on attend en terme de standard qualité sur ce type de série, qui se situe dans le haut du panier.
Shania continue, malheureusement pour elle, toujours à subir les évènements.
C'est une héroine devenue assez passive, qui n'a aucune possibilité d'initiative.
Ce n'est pas elle qui est motrice de l'histoire, même si elle en est le personnage central.
Les rares possibilités qu'elle a de tenter de prendre son destin en mains et de faire ses choix sont vite neutralisées.
Pour conclure, je confirme ce que je pensais du découpage très artificiel de l'album précédent.
Le prologue ne trouve toujours pas sa conclusion ici, et ne sert donc qu'à teaser la suite.
Surtout, la scène en Sibérie (Une planche et demi) est expliquée dans cet album 17, mais aurait pu tout à fait figurer dans celui-ci. Sa place dans le précédent oblige à être attentif à cette scène à un moment où ce n'est pas utile.
On est de l'ordre du détail malgré tout, bien entendu.
A souligner, une petite coquille sur la couverture de cet album.
Il y a deux scènes avec des hélicos dans le récit.
Le décor de la couverture suggère largement qu'il s'agit de la première de ces deux scènes, mais dans celle-ci, il n'y a que deux hélicoptères en intervention, et non pas trois !
ATTENTION SPOILER : Case 1, page 36... un style à la William Vance. Et que dire de la case 6, page 33 : la plus belle de tout LADY S. jusqu'ici ! Regardez-la bien, on dirait un tableau romantique de Caspar David Friedrich... Philippe Aymond est immense dans cette aventure. Case 1 page 34 : l'ambiance gothique est sublime. Les couleurs de Sébastien Gérard, tout au long de l'album, honorent la bande-dessinée.
Une histoire sans temps mort mais avec trop de péripéties. Mais je suis heureux que LADY S. retrouve le calme à la fin...
Personnellement j'ai bien aimé. L'introduction m'a fait penser à celle du film Casino Royal ou certains introductions des romans de John le Carré. Je ne parle pas dans ce qu'elle montre, mais dans la manière dont elle le montre, dans sa construction. Ici, le scénariste va droit au but et je pense que nous aurons les tenants et les aboutissements de cette introduction dans la suite de la série, ce serait logique. Je ne pense pas que le scénariste propose une introduction sans qu'elle soit inutile par la suite, ce ne serait pas logique quand même.
Pour ce qui est du cœur du récit. J'ai aimé, ici, c'est de l'espionnage Pulp, certes il y a de nombreux emprunts à l'actualité, mais dans la manière de gérer le récit, c'est clairement Pulp avec le Ministère, le retour du Centaure et la manière dont le scénario se construit, en bien comme en mal avec des coïncidences qui font sourire, notamment pour ce qui est de la mission humanitaire. J'ai toujours aimé le personnage de Lady S. Shania va faire ce qu'elle sait faire de mieux, tout part en vrille comme d'habitude et pour autant le scénariste n'en oublie pas les grands enjeux et les personnages secondaires et je dois dire que ça part un peu dans tous les sens. Je me demande vraiment ce que pourra proposer la suite, mais je pense que le récit part très bien. J'ai beaucoup aimé la mise en avant du Caire, c'est superbe et ça fait plaisir. On voyage réellement avec ce récit et j'aime comment l'ensemble est construit. Même si ce sont des personnages de fiction, on en vient à s'inquiéter pour leur mental, je pense notamment à notre héroïne Shania, après le décès de sa tante, elle continue sa mission pour l'ONG. C'est remarquable, mais elle joue je pense tout de même avec ses limites, même si c'est une héroïne badass.
J'ai hâte de voir la suite, car on reste tout de même sur sa faim en terme de scénario.
Les dessins sont superbes sérieusement. Le découpage est aux petits oignons et le dessin, juste le dessin, le travail sur les visages, le passage en infiltration avec la tenue typique de ce genre d'opération, les scènes en Égypte, les moments plus violents, c'est d'une beauté, c'est remarquable.
Cette série est une merveille et j'espère que nous n'attendrons pas deux ans pour la suite.
Max "La Menace" se révèle intrigante. Mystérieuse. Elle aussi a un parcours étonnant, magnifique. J'ai envie d'en savoir plus sur elle...
Un numéro très porté sur le sexe. La libido de ces héros - et de l'héroïne - rend croustillante cette aventure.
L'aristocrate est très affriolante (page 32) et Anton se montre à la hauteur... Jean Van Hamme pourrait lui consacrer une série en son nom, tant il est efficace dans tous les domaines (cases 2 page 41, 7 page 46 et 4 page 47). Philippe Aymond est très fort au dessin mais il devrait davantage mettre de détails sur ses cases lors de vues larges (cases 1 page 14, 6 page 38, page 39 et 1 page 44...).
Au final, un très bon album.
Max "la Menace" se révèle intrigante. Mystèrieuse. Elle aussi a un parcours étonnant, magnifique. J'ai envie d'en savoir plus sur elle...
Un numéro très porté sur le sexe. La libido de ses héros - et héroïnes - rend croustillante cette aventure. L' aristocrate est très affriolante (page 32) et Anton se montre à la hauteur... Jean Van Hamme pourrait lui consacrer une série en son nom, tant il est efficace dans TOUS les domaines (cases 2 page 41, 7 page 46 et 4 page 47).
Philippe Aymond est très fort au dessin mais il devrait davantage mettre de détails sur ses cases lors de vues larges (cases 1 page 14, 6 page 38, la page 39 et la case 1 page 44...).
Au final, très bon album.
Pour moi, la meilleure aventure jusqu'à présent de la belle LADY S ! Une intrigue politique qui nous enrichit sur le pouvoir et ses coulisses. Les artistes, quelque soit leur domaine, nous aident à comprendre le monde qui est le nôtre. Jean Van Hamme remplit à merveille cette fonction, merci à lui !
J'ai beaucoup aimé le personnage du sénateur Harry Glover, digne des meilleurs Scorcese ou Oliver Stone. Il y a vraiment toute une galerie de personnages forts, comme la présidente Donna Freeman.
Mais surtout, un grand bravo à Philippe Aymond pour ses planches splendides ! Pour moi, elles approchent de la perfection, surtout au niveau des angles de vue (par exemple, la page 33). L'artiste est ici à son meilleur (tant au dessin qu'aux couleurs) ! J'ai trouvé à l'agent du F.B.I. (case 2 page 21) un faux-air de Denzel Washington... Et vous ?
Jusqu'ici la meilleure aventure de la belle Shania / Suzan. Un scénario de Jean Van Hamme tout en esquives et faux-semblants, comme dans un bon vieux 007 ! Avec ces personnages à priori débonnaires mais qui sont loin de l'être... Et vous qui me lisez, pensez-vous qu'il se passe de telles choses dans notre monde ? Nous en savons en tout cas beaucoup plus sur l'univers dans lequel gravite LADY S....
Au dessin, Philippe Aymond est à son meilleur. Tant pour les détails des routes françaises, des cars, que de l'expression des personnages (mention spéciale pour le commissaire principal et le commissaire divisionnaire). Et il se lache comme il faut sur les superbes paysages de la région clermontoise.
Hâte de vivre une nouvelle aventure de LADY S !
Bon album. Bien que la police Française y soit étrangement efficace. Pour moi, les 3 et 4 sont les meilleurs des 4 premiers.
Décevante Lady S. Les auteurs nous l'avaient vendue comme très intelligente. Mais elle se fait avoir comme une conne par un faux journaliste (que les lecteurs ont tout de suite repéré comme tel) et lui déballe des secrets d'état... Voila qui devrait normalement sonner le glas de ses aventures d'espionnage.
C'est une excellente série. Encore une fois le dessin est excellent et les scénarios se tiennent bien, mais... Je trouve une certaine redondance dans le fait qu'il y ait toujours un traître quelque part et que (surtout), on le reconnaît de plus en plus facilement et de plus en plus rapidement dans l'histoire.
Malgré cette petite remarque, cela reste une de mes séries «chouchou» de 2021. J'attendrai, toutefois, la sorti du prochain intégral et je n'achèterai pas les volume individuels.
Shania Rivkas, alias Lady S, est en vacances en Indonésie. Vacances peut-être, mais pas de tout repos car elle a avec elle sa tante Ivana Rodchenko. La pauvre femme n’y peut rien : elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer. Cela ne manque pas de poser quelques problèmes avec le vigile de l’hôtel, notamment…
Shania profite de ce séjour pour revoir une ancienne connaissance, Doug Adams, avec qui elle a, autrefois, passé des moments mémorables. Il travaille pour l’ambassade US et a pour pénible mission de faire du renseignement économique pour contrer les Chinois qui se livrent à une lutte féroce sur le terrain.
Il l’invite ainsi que sa tante dans sa superbe et grande maison où un orage très violent le pousse à proposer à Shania et à sa tante d’y passer la nuit.
En pleine nuit, Lady S assiste à l’arrivée de la secrétaire de Doug, la sino-américaine Celina Wong. Descendant reprendre le carnet où sa tante note tout ce qu’elle a fait durant la journée, Lady S surprend une conversation : se pourrait-il que Doug trahisse son pays pour de l’argent ?
Critique :
Les dessins et les couleurs sont toujours aussi agréables, mais on dirait que Lady S se fait vieille ! Elle refuse de tirer dans le dos d’un vilain garçon animé de très mauvaises intentions… Et même pas fichue de s’évader de prison ! Elle se fait vieille, je vous dis ! Elle subit plus qu’elle n’agit !
Cette BD permet d’évoquer le cas de la maladie d’Alzheimer et aussi la situation des femmes dans les prisons indonésiennes où règnent la corruption et les petits négoces. (Mais la corruption et les petits trafics est-ce propre aux prisons indonésiennes ?)
Un bon album mais où il manque le souffle des premiers scénarios. Ne boudons pas notre plaisir puisque Lady S continue à nous entraîner à travers le monde.
Le scénario est bien trouvé et les dessins sont toujours aussi plaisants mais le charme n'agit plus car cette histoire aurait pu être vécue par n'importe quelle autre héroïne.
En fait, il en est ainsi depuis que Aymond a fait rentrer Lady S à la CIA, c'est à dire avec les trois derniers albums. En faisant cela, tout ce qui faisait l'originalité de la série a disparu. En particulier le CIRCAT, Antie, son père biologique et son père adoptif. Outrage ultime : Aymond oublie les capacités de tireuse de Lady S en lui faisant renoncer à "tirer dans dos" du Tigre en train de s'enfuir. Allons ! Dans un autre album, sans viser, elle lui aurait déjà logé une balle dans la jambe.
Il n'est peut-être pas trop tard pour revenir en arrière. J'attends le prochain album.
Shania l'estonienne va partir en vacances à Bali avec sa tante qui souffre de la maladie d'Alzheimer. Pour autant, cela ne va pas être des vacances dans ces conditions surtout quand elle se retrouve mêler par mégarde à une affaire d'espionnage impliquant les services secrets. Elle va plonger droit dans la gueule du tigre ce qui peut être parfois assez pratique.
Il y a une dimension un peu plus humaine à ce récit qui fait appel à la maladie, à ceux qui souffrent dans le monde pour leur condition de détention et même pour les regrets amoureux d'histoire non achevée. On verra également la corruption de ces états soi-disant paradisiaques qui acccueillent à bras ouvert les touristes mais qui peut les jeter en prison pour oui ou un non.
Cela reste une aventure classique mais qui réserve toutefois de bons retournement de situation non envisagée. La lecture d'un Lady S. reste agréable même après 15 volumes.
TOME 15 SORTIE EN SEPTEMBRE 2021
...dans la gueule du titre
pas encore dans le fichier
ce n'est pas le meilleurs lady s
mais shania est tellement attachante
Vraiment excellent, j' avais déjà adoré le premier album
histoire captivante, j'ai hâte d'enchainer la suite.
Avis portant sur la série:
C’est une série d’espionnage scénarisée par le talentueux Jean Van Hamme qu'on ne présente plus. Le dessin semble être dans la même veine que Largo Winch c'est à dire soigné et précis. Je n'ai pas de problème avec ce graphisme réaliste bien au contraire.
Cette BD qui traite du monde de la diplomatie est plus que correcte. La lecture est très agréable. Le talent de narrateur de Van Hamme fait beaucoup dans le succès de cette série. Le défaut provient peut-être des grosses ficelles tirées par le scénariste qui en abuse parfois. Et puis, toute cette machine commerciale autour de cette série peut en énerver plus d'un qui passeront leur chemin. Cela serait toutefois dommage de ne pas faire connaissance de la séduisante Suzan-Shania qui se révèle être un personnage attachant tout au fil des tomes qui se succèdent.
Cela reste dans la droite ligne de Largo Winch, de Wayne Shelton ou XIII. J'apprécie le cadre géopolitique de chacun des scénarios élaborés car c'est très proche de la réalité. Cette série peut s'avérer classique dans l'approche mais passionnante à la lecture. J'ai bien aimé le 6ème tome (salade portugaise) dont une première partie de l'action se déroule dans ma ville de Strasbourg. Il faut dire que les lieux ont été fidèlement représentés.
A noter que le dessinateur Aymond reprend entièrement la série à partir du 10ème tome. Van Hamme a également passé la main sur cette série. Je dois bien avouer qu'Aymond se débrouille plutôt bien. Le tome 11 se passe dans la zone américaine un peu spéciale de Guantánamo. On apprendra des choses assez intéressantes tout en collant avec l'actualité très récente comme le rapprochement de Cuba avec les USA.
A noter un 13ème tome qui possède quand même pas mal de défauts visibles. Je vais donner un exemple précis. Une phrase est employée du style: "votre rôle dans cette histoire n'est pas clair" qui est prononcée à bout de champ par des protagonistes différents vers la fin du tome. A croire que l'auteur ne s'est pas relu. On peut également ajouter des grosses ficelles également comme recevoir une balle en pleine tête et s'en sortir vivant par une pirouette du genre la balle a éraflé la boîte crânienne. A cette distance et au vu de ce que nous voyons au travers la case de l'album, on peut légitimement en douter. Bref, du gros n'importe quoi au niveau crédibilité. C'est dommage de ne pas faire plus d'efforts car la série est toujours aussi agréable à la lecture.
Au final, c'est une BD de divertissement et à prendre comme tel. Ni plus, ni moins! En tout cas, l'efficacité est toujours assurée par un virtuose du scénario.
Note Dessin : 4/5 – Note Scénario : 4/5 – Note Globale : 4/5
Difficile dans ce genre de série de pouvoir se renouveler en permanence tout en restant cohérent avec les épisodes précédents. L'intrigue ici est bien amené. Cette fois, c'est le hasard qui amène Lady S dans des situations inconfortables. Le rythme est soutenu et la tension ne faiblit pas. On ne relâchera l'album qu'une fois terminé. Dans la lignée des albums précédents.
Un scénario bien faible, basé sur des coïncidences... et un quiproquo (la tante sénile qui se trompe de numéro de chambre d'hôpital) qui lance l'aventure.
Un épisode qui ne restera pas dans les mémoires et qui n'apporte rien à la série.
Assez partagé entre les avis de Rody Sansei et de Kurdy1207. Le dessin est bon et l'histoire est quelconque. Aymond sait mieux faire.
Un tome ultra soporifique, avec des raccourcis neuneus et des coïncidences extra-ordinaires en veux-tu en voilà. Je ne me souviens même pas avoir lu les 10 dernières pages, peut-être survolées (je ne sais plus, je m'en fiche).
Un album très mauvais à mes yeux, de loin le plus mauvais de la série (l'abandon de la cohérence scénaristique est juste incompréhensible).
Autant j’avais adoré le précédent tome, autant celui-ci m’a laissé sur ma faim. Encore un album verbeux mais surtout ennuyeux et il faut attendre la deuxième partie de l'histoire pour enfin avoir un peu d’action. Rien à redire sur le dessin de qualité d’Aymond fidèle à lui-même. Il s’agit d’un bon album mais sans plus.
Aymond nous a gâté avec cet album parsemé de nombreux rebondissements. Jolis dessins pour une belle Lady S toujours prête à donner d’elle-même. Un T13 très bon.
Ouh là ! Kurdy1207, on s'enflamme... 5 étoiles pour cet album, c'est beaucoup trop...
Soit, Lady S. devient un classique de la BD, et mettre en avant une héroïne (une sorte de Jane Bond) est un rafraîchissement dans le monde machiste de l'aventure.
Cependant, ce 13ème tome est très classique, bien qu'il soit correctement construit et bien dessiné. J'ai trouvé certaines ficelles du scénario "plutôt grosses" : comme le chef des "méchants" qui s'en réchappe à la fin.
Bref, une histoire correcte mais pas un chef d'oeuvre.
Cet album nous offre une fin palpitante avec coup de théâtre sur coup de théâtre. Philippe Aymond signe là un excellent scénario et pour moi le meilleur Lady S de la série.
Membre d’Action 19, notre héroïne Shania Rivkas se rend à Paris pour essayer de faire arrêter un colonel du Malawi qui perpétue depuis plusieurs années des exactions sur les populations locales. Une première tentative pour l’arrêter va se solder par un échec et celui-ci va pouvoir s’échapper pour rejoindre l’ambassade du Malawi. Avec l’aide de la CIA, Lady S va alors faire une tentative d’enlèvement du colonel à l’ambassade. Malheureusement, la CIA, comme bien souvent, joue un double jeu.
Des retournements de situation en veux-tu en voilà, un pourri de la CIA qui manipule Shania, que l’on retrouvera certainement dans des histoires futures, de l'action, des dessins précis et de plus en plus réussis, voilà une somme d’ingrédients pour un tome de haute volée. Si cela doit-être le rythme de croisière des futurs albums de la série Lady S, alors nous allons nous régaler. Superbe !
Bof, bof...
Une histoire de virus volé d'un labo...
Un kidnapping d'enfant comme monnaie d'échange...
L'histoire est linéaire et en même temps la lutte entre les différents services secrets est mal exploitée...
De plus, la couverture est moche ;)
Quand Van Hamme a abandonné la série et laissé les rênes au seul Aymond, on aurait pu penser à une baisse de qualité des aventures de Lady S. Ce qui fut le cas avec le Tome 10 ADN. Mais il faut reconnaître que le tome 11 et le tout dernier « Rapport de force » sont bien meilleurs et voire même aussi bons que ceux écrits par Van Hamme.
Bien sûr, il n’a rien de spécialement innovant dans ce dernier scénario de la série, mais il est très bien conté et à aucun moment je ne me suis ennuyé. C’est un plaisir que de suivre les aventures de Lady S.
Après un tome 10 plutôt médiocre au niveau du déroulement de l'intrigue et qui m'avait bien déçu, ce tome 11 est nettement meilleur et me réconforte avec la série, Ouf! On ne s'y ennuie pas une seconde et l'intrigue (d'actualité) est bien faite, claire avec des dialogues fluides et plaisants.
Un album qui rebooste l'intérêt pour les personnages et qu'on déjà envie de retrouver pour la suite. Quel cliffhanger...
J'attends la suite en espérant que ça soit aussi bon.
Rien à redire sur les dessins, du bon travail!
Un scénario en lien avec le contexte actuel : le terrorisme international islamiste, le réchauffement des relations américano-cubaines, les conditions inhumaines de détentions, la collaboration entre les différentes agences de services secret pour lutter contre un ennemi commun...
Un bon épisode à suivre... cliffhanger
Bon dosage entre espionnage et action.
Bof, bof. Les dessins et couleurs sont toujours réussis mais le scénario/l'intrigue n'est pas top, voire mauvais. Le récit manque de clarté et certaines situations restent floues (le rôle des services secrets allemands, l'incarcération de l'agent Liszt,...)
Il y a aussi beaucoup de trop de raccourcis, ça va trop vite, limite bâclé (le final). Tout se résout à la va-vite, emballé, c'est pesé.
A retravailler pour les tomes suivants sinon je quitterai la barque.
J'ai cessé d'acheter cette série depuis quelques années, depuis le tome 6 pour être précis. Je finissais par me lasser des aventures de Lady S (surtout avec les intrigues des groupuscules liés aux services secrets qui devenaient assez irréalistes).De temps en temps, j'emprunte donc un volume à la médiathèque.
J'ai eu peur de retrouver dans cette dixième aventure,les méandres du groupe CIRCAT au début de l'album, mais j'ai été surpris du tour pris par le scénario. Certes le fil rouge des véritables origines de Lady S est toujours présent mais il s'imbrique parfaitement sur une aventure d'espionnage que ne renierait certes pas un Van Hamme, qui n'est plus aux manettes de cette série.
Aymond s'en sort très bien au scénario, avec un dessin vif et réaliste(la poursuite en voiture pages 41 à 44 est en la preuve)
Bref, enfin, un bon volume qui peut relancer l'intérêt de la série à mes yeux.
La série se poursuit à bon rythme et avec qualité, ainsi qu'un dessin et des couleurs qui fonctionnent. Dommage en revanche d'avoir fait la couverture de la scène où Lady S se ballade - encore ! - en sous-vêtements sur les toits. C'est symptomatique de l'envie de vendre son héroïne sexy, mais pas franchement nécessaire pour les lecteurs qui suivent la série de près et n'apprécient pas forcément cet aspect très "premier degré".
Lady S. s'impose vraiment comme une bonne série, bien que ne révolutionnant pas vraiment le genre. Cet album constitue un tournant scénaristique en développant les différents éléments mis en place dans les précédents. Il n'est pas le plus original mais la série se poursuit avec cohérence et intelligence.
Meilleur que les trois précédents, ce quatrième tome nous fait entrer un peu plus loin dans l'univers de l'espionnage. C'est également un album charnière, avec pas mal de réponses apportées aux questions ouvertes depuis le début de la série. L'idée des espions retraités nous place sur la frontière entre le ridicule et le bien pensé, mais cela me convient au final assez bien et permettra probablement d'amener une touche d'originalité. En bref, il s'agit d'un scénario bien ficelé pour une série qui donne envie d'être suivie.
J'ai un peu moins apprécié cet album, en comparaison avec les précédents. Il est plus largement centré sur l'émotion, mais je trouve que notre Lady S tombe un peu vite amoureuse, et qu'elle se met un peu facilement à divulguer des informations top secrètes. Pour le reste, ça continue à se laisser lire et les dessins sont plutôt convaincants, comme pour les personnages par exemple (il est d'ailleurs amusant d'observer qu'Anton est le parfait sosie du Blueberry de Giraud).
Un bon album, sans grand plus.
Après un premier tome qui nous présentait le parcours tortueux de Lady S, celui-ci vient clore le diptyque en entrant dans le vif du sujet, bien que la fin semble nous prouver que cette aventure sans grands enjeux n'est qu'une introduction à la série. On pourrait d'ailleurs reprocher à cette scène finale, ainsi qu'à l'ensemble de l'album d'ailleurs, de ne rien faire pour éviter les poncifs du genre. On relèverait alors une intrigue qui se résout par une simple discussion sur un banc public, ou une évasion de notre belle héroïne en sous-vêtements par les toits... Mais ce serait nier l'efficacité d'un scénario qui remplit ses fonctions premières : faire aimer un nouveau personnage principal et faire passer un bon moment de détente au lecteur.
superbe continuité, accrochante , captivante j'attend avec impatience le tome suivant; et toujours de très très beaux dessins
Cette nouvelle histoire de la troublante Lady S n'est pas aussi captivante que la précédente,mais cela tiens la route malgré un manque d'originalité.On apprend encore de nouvelle chose sur shania mais cela sent l’essoufflement.Le dessin se maintient mais l'exotisme a la salade portuguaise manque a cette univers BLOC EST/OUEST .
Un album qui vient camper le décor et les personnages pour une série qui s'annonce haletante. On n'étouffe pas dans l'originalité mais le rythme est bon, et avec Jean Van Hamme aux commandes, on s'attend à un voyage passionnant.
Comme pour Wayne Shelton, le scénariste récite ses gammes: c'est harmonieux, il n'y a pas de fausses notes, mais il commence à manquer le petit plus qui faisait de Lady S un personnage attachant.
Les dessins sont à la hauetur et dans la lignée des précédents albums.
bon tome l'histoire est bien mené même si certains point sont à eclaircir: pourquoi font ils echapper une fille avec lady S pour la tuer ensuite ? pourquoi a ton une bulle où on lui enleve une perruque? ce dernier point n'apporte rien à l'histoire.
et surtout pourquoi montrer que lady S sait etre precise au tir sans viser si c'est pour lui mettre dans les mains un fusil avec lunette pour viser?
sinon la faire passer pour morte pour s'en servir de tueuse constitue une bonne histoire même si cela ressemble un peu à nikita de Luc besson
Suite du précédent tome qui semble avoir aparu il y à une éternité, mais en fait ce n'était qu'il y a un an et demi.
Bref une histoire toujours aussi simple, certe mais raconté par Van hamme, se qui veut dire d'une très bonne manière, du moins pour moi, allors je serais présent pour le suivant, car la charmante Suzan je l'apprécie bien.
Lady S reste une série sympa avec du chantage, des rebondissements et des quiproquos ; Tous les ingrédients nécessaires pour passer un bon moment sur cette série d’espionnage. Ce tome met en avant la mafia Russe complotant avec la mafia du sud de la France pour assouvir des actes criminels. Est-ce pour le bizness ? Est-ce pour un règlement de compte ou pour un autre motif ? Seule Lady S saura être capable de tirer cette histoire au clair.
En très peu de temps, Lady S. s'est rapidement inscrite parmi les albums incontournables.Constituée de one shot,cette série m'étonne toujours autant. L'infatigable Van Hamme sait, dans le présent opus, réutilser les personnages des précédents albums.
Au fur et à mesure des aventures,notre Suzan alias Shania s'émancipe de son, voire ses pères.
En s'inspirant de l'actualité, à savoir la présence de la mafia russe dans le sud de la Fance, Jean Van Hamme nous livre un scénario implaccable et carré, comme (presque)toujours. C'est précis, avec des dialogues riches et surtout fort bien dessinn par Philippe Aymond qui avec son dessin réaliste colle parfaitement à l'histoire.
un très bon moment de détente.
Une histoire de lady S de plus qui me plait tant.
Cette fois Shania essaye d'éviter l'assasinat de son père Abel Rivkas, qui est devenue un témoin protégé.
J’ai lu les six premiers volumes. La série est sympa, les scénarios sont plutôt banals mais plus on va de volume en volume, plus on s’attache au personnage. C’est l’histoire d’une fille de l’est, orpheline qui va être adoptée par un diplomate américain et qui par la force des choses va devoir jouer les James Bond. Ce n’est pas la série de Van Hamme que je préfère mais cela reste correct. A découvrir !
Pas déçu par ce nouvel opus.
Le scénario reste solides avec sa dose d'action et de suspens.
Les dessins sont impeccables comme depuis le début de cette série.
Et cette fois-ci l'histoire se passe en Europe.
Le retour du père prodige laissse entrevoir un épisode en Russie.
Très bon divertissement.
7/10.
Le meilleur de la série.
D'accord la père de l'héroïne amant de la présidente des USA c'est un peu gros mais au final l'intrigue permet un ultime rebondissement et va peut-être européanisé notre heroïne.
Le scénario est vraiment bien foutu même si les ficelles sont parfois un peu grosses.
A suivre avec intérêt.
8/10.
Toujours aussi passionnant cette histoire de XIII en jupons.
Le scénario est crédible et bien mené.
Les dessins sont de qualité.
Mais les personnages gagneraient à avoir une psychologie plus fouillée.
Un bon moment de détente quand même.
7/10.
Decidemment Van Hamme a une très nette prédisposition aux BD d'espionnage.
Les personnages paraissent ici plus humains donc plus crédibles.
Les dessins restent excellents.
Un bon divertissement.
7/10.
Un deuxième tome du même accabit que le premier opus.
J'adore surtout le final digne des meilleurs romans d'espionnage.
Rien à redire sur le scénario.
Mais il manque un je-ne-sais-quoi?
Un bon moment de BD.
7/10.