Pierre-Mony Chan est né le 17 février 1978 à Paris. Avant même de savoir lire, il feuillette les bandes dessinées des Schtroumpfs, Astérix et Obélix, Tintin et autre Gaston Lagaffe et se lance, sans trop de conviction, dans la reproduction de ses personnages préférés. Des influences classiques, selon lui, jusqu’à l’arrivée des dessins animés japonais sur le petit écran. Plus que la bande dessinée, ce fut l’élément déclencheur qui lui donna l’envie de s’appliquer davantage au dessin. Le graphisme si différent et "moderne" en comparaison de ce qu’il avait l'habitude de voir va énormément l’inspirer. À l’adolescence, il commence à s’intéresser aux mangas, principalement ceux de Masamune Shirow. Puis il participe à une APA (Amateur Press Association) appelée GraphAPA, dont le principe repose sur la compilation des œuvres dessinées des participants. Un très bon souvenir puisqu’il rencontre enfin des personnes avec qui partager sa passion du dessin mais aussi redécouvre les graphismes autres que japonais. Du coup, il décide de changer son orientation. D’un bac F3 d’électrotechnicien, il entre à l’école Émile-Cohl pour y passer un diplôme d’illustrateur qu’il obtient quatre ans plus tard. Diplôme qui lui permet en 1998 de faire son entrée dans l’univers des jeux vidéos en tant que designer. Lorsque la société qui l’emploie se met à battre de l’aile, il bascule tout naturellement vers la BD grâce à Jean-Luc Sala, son chef de projet, qui lui propose de réaliser une planche pour le festival d’Angoulême. Sur place, leur rencontre avec l’éditeur Mourad Boudjellal aboutit à la parution de l’album « Cross-Fire ».
Texte et photo © Soleil
Pierre-Mony Chan est né le 17 février 1978 à Paris. Avant même de savoir lire, il feuillette les bandes dessinées des Schtroumpfs, Astérix et Obélix, Tintin et autre Gaston Lagaffe et se lance, sans trop de conviction, dans la reproduction de ses personnages préférés. Des influences classiques, selon lui, jusqu’à l’arrivée des dessins animés japonais sur le petit écran. Plus que la bande dessinée, ce fut l’élément déclencheur qui lui donna l’envie de s’appliquer davantage au dessin. Le graphisme si différent et "moderne" en comparaison de ce qu’il avait l'habitude de voir va énormément l’inspirer. À l’adolescence, il commence à s’intéresser aux mangas, principalement ceux de Masamune Shirow. Puis il participe à une APA (Amateur Press Association) appelée GraphAPA, dont le principe repose sur la compilation des œuvres dessinées des participants. Un très bon souvenir puisqu’il rencontre enfin des personnes avec qui partager sa passion du dessin mais aussi redécouvre les graphismes autres que japonais. Du coup, il décide de changer son orientation. D’un bac F3 d’électrotechnicien, il entre à l’école Émile-Cohl pour y passer un diplôme d’illustrateur qu’il obtient quatre ans plus tard. Diplôme qui lui permet en 1998 de faire son entrée dans l’univers des jeux vidéos en tant que designer. Lorsque la société qui l’emploie se met à battre de l’aile, il bascule tout naturellement vers la BD grâce à Jean-Luc Sala, son chef de projet, qui lui propose de réaliser une planche pour le festival d’Angoulême. Sur place, leur rencontre avec l’éditeur Mourad Boudjellal aboutit à la parution de l’album « Cross-Fire ».
Texte et photo © Soleil