Jeune talent déjà confirmé, Iô Kuroda est un conteur plus qu’inspiré, au dessin spontané et réaliste, qui marque chaque récit de sa personnalité. Né en 1971, il est encore étudiant lorsqu’il remporte un concours de manga organisé par le magazine Afternoon de Kôdansha. En 1994, il entame Dainihon tengutô ekotoba, saga opposant les humains aux tengu, légendaires créatures mi-hommes mi-oiseaux. Ses courts récits, regroupés dans le recueil Daiô en 1999, sont salués par les Katsuhiro Otomo (Akira) et Katsuya Terada (Saiyukiden). Intarissable, Kuroda jongle de la SF à la cuisine dans Kurofune, puis décline l’aubergine à toutes les sauces dans Nasu, avant de jouer sur l’intrigue avec Sexy voice and Robo. Un auteur à suivre de près.
Texte © Casterman
Jeune talent déjà confirmé, Iô Kuroda est un conteur plus qu’inspiré, au dessin spontané et réaliste, qui marque chaque récit de sa personnalité. Né en 1971, il est encore étudiant lorsqu’il remporte un concours de manga organisé par le magazine Afternoon de Kôdansha. En 1994, il entame Dainihon tengutô ekotoba, saga opposant les humains aux tengu, légendaires créatures mi-hommes mi-oiseaux. Ses courts récits, regroupés dans le recueil Daiô en 1999, sont salués par les Katsuhiro Otomo (Akira) et Katsuya Terada (Saiyukiden). Intarissable, Kuroda jongle de la SF à la cuisine dans Kurofune, puis décline l’aubergine à toutes les sauces dans Nasu, avant de jouer sur l’intrigue avec Sexy voice and Robo. Un auteur à suivre de près.
Texte © Casterman