Jean-Jacques Beineix, né le 8 octobre 1946 à Paris est un réalisateur, dialoguiste, producteur, scénariste de cinéma français. En 1964, Jean-Jacques Beineix débute comme assistant-réalisateur de Jean Becker sur la célèbre série télévisée Les saintes chéries jusqu'à fin 1967, puis en 1970 pour Claude Berri, 1971 pour Claude Zidi. En 1977, il réalise son premier court métrage « Le Chien de M. Michel », récompensé par le premier prix au Festival de Trouville. En 1980, Jean-jacques Beineix réalise son premier long métrage « Diva », récompensé par quatre César en 1982. En 1986, il réalise 37°2 le matin avec Béatrice Dalle et Jean-Hugues Anglade nominé à l'Oscar du Meilleur film étranger. En 1989, il réalise "Roselyne et les lions", en 1992 "IP5", en 2001 "Mortel Transfert". À l'automne 2006, il publie le premier tome de ses mémoires Les Chantiers de la gloire, dont le titre est clairement et selon ses propres propos (interviews et rencontres publiques) une allusion au film Les Sentiers de la gloire.
Jean-Jacques Beineix, né le 8 octobre 1946 à Paris est un réalisateur, dialoguiste, producteur, scénariste de cinéma français. En 1964, Jean-Jacques Beineix débute comme assistant-réalisateur de Jean Becker sur la célèbre série télévisée Les saintes chéries jusqu'à fin 1967, puis en 1970 pour Claude Berri, 1971 pour Claude Zidi. En 1977, il réalise son premier court métrage « Le Chien de M. Michel », récompensé par le premier prix au Festival de Trouville. En 1980, Jean-jacques Beineix réalise son premier long métrage « Diva », récompensé par quatre César en 1982. En 1986, il réalise 37°2 le matin avec Béatrice Dalle et Jean-Hugues Anglade nominé à l'Oscar du Meilleur film étranger. En 1989, il réalise "Roselyne et les lions", en 1992 "IP5", en 2001 "Mortel Transfert". À l'automne 2006, il publie le premier tome de ses mémoires Les Chantiers de la gloire, dont le titre est clairement et selon ses propres propos (interviews et rencontres publiques) une allusion au film Les Sentiers de la gloire.