Né à Bruxelles en 1946, Michel Oleffe s’est découvert très tôt une vocation pour l’écriture. En 1970, après des études en communication et sciences politiques à l’Université de Bruxelles (ULB), il se lance dans une carrière de journaliste et de publicitaire pour la filiale belge d’une importante multinationale (IBM) dont il gardera la gestion de la revue jusqu’en 1995. Au travers de différentes missions, il fréquente étroitement les milieux de la presse, de la photographie, de la production audiovisuelle et des arts graphiques. Parallèlement, il ne cessera d’écrire pour des shows multimédias, des animations professionnelles, sans oublier la presse artistique et musicale. Il tiendra même une rubrique «rock’n roll» dans un hebdomadaire bruxellois. En 1988, l’éditeur Claude Lefrancq l’incite à s’essayer au métier de scénariste de BD. Il relève le défi en créant «Carland Cross», le détective de l’impossible. L’atmosphère étrange, la densité des intrigues et l’univers profondément fantastique de cette série policière dessinée par Olivier Grenson vont lui valoir un succès qui l’encouragera à persévérer dans cette voie. Ils signent d'ailleurs avec le studio de dessins animés Odec-Kid Cartoons, un contrat portant sur la réalisation de 26 téléfilms adaptés de cette BD, «Carland Cross». Oleffe en scénarisera lui-même la moitié des épisodes. Dans la foulée, il participera à d’autres séries de téléfilms d’animation dont «Prudence Petitpas» d’après la BD de Maurice Maréchal. Michel Oleffe travaille aussi à des ouvrages d’analyse sur la littérature fantastique et les publications populaires anciennes. Il est le secrétaire de la revue littéraire internationale «Archipel» et continue d’écrire pour l’audiovisuel et pour la BD. «Feu sur la Provence», une aventure en deux tomes dessinée par Eric Loutte, est le premier scénario de la série «Biggles» que Michel Oleffe publie au Lombard.
Texte © Le Lombard
Né à Bruxelles en 1946, Michel Oleffe s’est découvert très tôt une vocation pour l’écriture. En 1970, après des études en communication et sciences politiques à l’Université de Bruxelles (ULB), il se lance dans une carrière de journaliste et de publicitaire pour la filiale belge d’une importante multinationale (IBM) dont il gardera la gestion de la revue jusqu’en 1995. Au travers de différentes missions, il fréquente étroitement les milieux de la presse, de la photographie, de la production audiovisuelle et des arts graphiques. Parallèlement, il ne cessera d’écrire pour des shows multimédias, des animations professionnelles, sans oublier la presse artistique et musicale. Il tiendra même une rubrique «rock’n roll» dans un hebdomadaire bruxellois. En 1988, l’éditeur Claude Lefrancq l’incite à s’essayer au métier de scénariste de BD. Il relève le défi en créant «Carland Cross», le détective de l’impossible. L’atmosphère étrange, la densité des intrigues et l’univers profondément fantastique de cette série policière dessinée par Olivier Grenson vont lui valoir un succès qui l’encouragera à persévérer dans cette voie. Ils signent d'ailleurs avec le studio de dessins animés Odec-Kid Cartoons, un contrat portant sur la réalisation de 26 téléfilms adaptés de cette BD, «Carland Cross». Oleffe en scénarisera lui-même la moitié des épisodes. Dans la foulée, il participera à d’autres séries de téléfilms d’animation dont «Prudence Petitpas» d’après la BD de Maurice Maréchal. Michel Oleffe travaille aussi à des ouvrages d’analyse sur la littérature fantastique et les publications populaires anciennes. Il est le secrétaire de la revue littéraire internationale «Archipel» et continue d’écrire pour l’audiovisuel et pour la BD. «Feu sur la Provence», une aventure en deux tomes dessinée par Eric Loutte, est le premier scénario de la série «Biggles» que Michel Oleffe publie au Lombard.
Texte © Le Lombard