Monique Martin est une artiste peintre et illustratrice née à Bruxelles en 1928. Très connue dans le milieu de la littérature de jeunesse sous le pseudonyme de Gabrielle Vincent, elle est considérée comme la meilleure illustratrice belge et à l’avant-garde du métier d’illustrateur de livres pour enfants. La série Ernest et Célestine, et d’autres œuvres mondialement connues comme La Petite Marionnette et Un Jour, Un Chien , lui ont valu de nombreuses récompenses (meilleur livre de jeunesse au Salon du Livre de Montreuil, Prix Sankei Children’s books Publications Prize du Japon, …). En tant qu’artiste-peintre, elle exploite le noir et blanc jusque dans les années ’60 (encre, fusain, crayon, …). Plus tard, elle utilise la couleur et explore de nouvelles techniques comme l’aquarelle, le pastel et la couleur à l’huile. À chaque exposition, elle est encensée par la critique qui souligne la force, la sobriété et la sensibilité de son art. D’aucuns la comparent aux « grands » tels Rembrandt, Degas, Toulouse-Lautrec et Matisse. Après 1981, elle exposera peu, car l’idée de vendre ses œuvres (qu’elle appelle « son enfant ») la repousse. Douze ans après son décès en septembre 2000, la Fondation Monique Martin voit le jour afin de préserver l’ensemble des œuvres de Monique Martin et de mieux la faire connaître au public à travers les deux pans de son travail : l’illustration et la peinture.
Texte © Casterman
Monique Martin est une artiste peintre et illustratrice née à Bruxelles en 1928. Très connue dans le milieu de la littérature de jeunesse sous le pseudonyme de Gabrielle Vincent, elle est considérée comme la meilleure illustratrice belge et à l’avant-garde du métier d’illustrateur de livres pour enfants. La série Ernest et Célestine, et d’autres œuvres mondialement connues comme La Petite Marionnette et Un Jour, Un Chien , lui ont valu de nombreuses récompenses (meilleur livre de jeunesse au Salon du Livre de Montreuil, Prix Sankei Children’s books Publications Prize du Japon, …). En tant qu’artiste-peintre, elle exploite le noir et blanc jusque dans les années ’60 (encre, fusain, crayon, …). Plus tard, elle utilise la couleur et explore de nouvelles techniques comme l’aquarelle, le pastel et la couleur à l’huile. À chaque exposition, elle est encensée par la critique qui souligne la force, la sobriété et la sensibilité de son art. D’aucuns la comparent aux « grands » tels Rembrandt, Degas, Toulouse-Lautrec et Matisse. Après 1981, elle exposera peu, car l’idée de vendre ses œuvres (qu’elle appelle « son enfant ») la repousse. Douze ans après son décès en septembre 2000, la Fondation Monique Martin voit le jour afin de préserver l’ensemble des œuvres de Monique Martin et de mieux la faire connaître au public à travers les deux pans de son travail : l’illustration et la peinture.
Texte © Casterman