Clément Baloup (né en 1978) entre à l'école des Beaux-Arts d'Angoulême en 1997 et y rejoint la section BD. Ces cinq années en Charente enrichissent tant sa perception que sa pratique de la bande dessinée. En 2000, il monte avec ses colocataires « La Maison qui pue », un collectif touche-à-tout qui lui permet de publier ses premières planches. Un éclectisme que Clément Baloup a conservé puisque, outre ses travaux intimistes (Un Automne à Hanoï et Quitter Saigon), ce jeune auteur marseillais a également réalisé les scénarios d'œuvres davantage tournées vers l'aventure : La Vie en Rouge pour Domas (2 tomes parus à La Boîte à bulles) et les très remarqués Chinh Tri (2 tomes parus au Seuil) et Diables Sucrés pour Mathieu Jiro (Gallimard – sélection Angoulême 2010). Avec Mémoires de Viet Kieu T1,Quitter Saigon (publié puis réédité en version augmentée à La Boîte à bulles), il obtient son premier prix d’importance : le Prix du jury Œcuménique de la bande dessinée, à l’occasion du Festival d’Angoulême 2011.
Texte et photo © La boîte à bulles
Clément Baloup (né en 1978) entre à l'école des Beaux-Arts d'Angoulême en 1997 et y rejoint la section BD. Ces cinq années en Charente enrichissent tant sa perception que sa pratique de la bande dessinée. En 2000, il monte avec ses colocataires « La Maison qui pue », un collectif touche-à-tout qui lui permet de publier ses premières planches. Un éclectisme que Clément Baloup a conservé puisque, outre ses travaux intimistes (Un Automne à Hanoï et Quitter Saigon), ce jeune auteur marseillais a également réalisé les scénarios d'œuvres davantage tournées vers l'aventure : La Vie en Rouge pour Domas (2 tomes parus à La Boîte à bulles) et les très remarqués Chinh Tri (2 tomes parus au Seuil) et Diables Sucrés pour Mathieu Jiro (Gallimard – sélection Angoulême 2010). Avec Mémoires de Viet Kieu T1,Quitter Saigon (publié puis réédité en version augmentée à La Boîte à bulles), il obtient son premier prix d’importance : le Prix du jury Œcuménique de la bande dessinée, à l’occasion du Festival d’Angoulême 2011.
Texte et photo © La boîte à bulles