Après trois années de latins - mathématiques, Marie-Noëlle Bastin poursuit sur des humanités artistiques à Liège, avant de s'inscrire pour le graduat en arts plastiques à l'Institut Supérieur des Beaux-Arts Saint-Luc à Liège, section illustration. C'est là qu'elle rencontre Éric Warnauts et, surtout son futur mari Marc-Renier. Dès sa sortie de Saint-Luc, elle va se mettre à colorier les dessins de Marc-Renier, spécialement Les Yeux du Marais, le premier récit médiéval que publiera le Journal Tintin et qu'éditeront les éditions du Lombard en 1985. Il est à noter qu'à l'exception du premier tome de la série Melmoth et du premier tome du Masque de Fer, Marie-Noëlle Bastin va s'occuper des couleurs de tous les albums de son mari… En 1992 et 1993, Marie-Noëlle Bastin s'occupe de la mise en couleurs des deux premiers tomes de la réédition de Corentin de Paul Cuvelier. Il lui est arrivé aussi de dépanner d'autres dessinateurs, comme Dany pour la mise en couleurs d'une de ses histoires coquines, Francis Carin pour Monsieur Tadjeff aux éditions du Lombard (série Victor Sackville), ou encore Pierre Legein dans les Dampierre numéros 9 et 10. En 2001, Marie-Noëlle Bastin a le redoutable privilège de mettre en couleurs l'album mythique de Didier Comès, Silence, qui avait été conçu voici plus de vingt ans pour le noir et blanc. Actuellement, Marie-Noëlle Bastin a terminé le tome trois de Black Hills, pour Marc-Renier : La grande Blessure, qui est sorti à l'automne 2002 et elle a participé aux couleurs de L'Homme de Berlin, dix-huitième album de Victor Sackville dessiné par Francis Carin. Elle travaille pour Ersel, dans son troisième tome du Gardien de la lance et dans son deuxième tome des Derniers Jours de la Géhenne. En dehors de ses mises en couleurs à la gouache et au pinceau, Marie-Noëlle Bastin aime réaliser des portraits d'animaux et quelques peu de peinture à l'huile. Durant les vacances, elle anime aussi des stages de mise en couleurs pour les enfants… Bref, une artiste dans toute l'acception du terme !
Après trois années de latins - mathématiques, Marie-Noëlle Bastin poursuit sur des humanités artistiques à Liège, avant de s'inscrire pour le graduat en arts plastiques à l'Institut Supérieur des Beaux-Arts Saint-Luc à Liège, section illustration. C'est là qu'elle rencontre Éric Warnauts et, surtout son futur mari Marc-Renier. Dès sa sortie de Saint-Luc, elle va se mettre à colorier les dessins de Marc-Renier, spécialement Les Yeux du Marais, le premier récit médiéval que publiera le Journal Tintin et qu'éditeront les éditions du Lombard en 1985. Il est à noter qu'à l'exception du premier tome de la série Melmoth et du premier tome du Masque de Fer, Marie-Noëlle Bastin va s'occuper des couleurs de tous les albums de son mari… En 1992 et 1993, Marie-Noëlle Bastin s'occupe de la mise en couleurs des deux premiers tomes de la réédition de Corentin de Paul Cuvelier. Il lui est arrivé aussi de dépanner d'autres dessinateurs, comme Dany pour la mise en couleurs d'une de ses histoires coquines, Francis Carin pour Monsieur Tadjeff aux éditions du Lombard (série Victor Sackville), ou encore Pierre Legein dans les Dampierre numéros 9 et 10. En 2001, Marie-Noëlle Bastin a le redoutable privilège de mettre en couleurs l'album mythique de Didier Comès, Silence, qui avait été conçu voici plus de vingt ans pour le noir et blanc. Actuellement, Marie-Noëlle Bastin a terminé le tome trois de Black Hills, pour Marc-Renier : La grande Blessure, qui est sorti à l'automne 2002 et elle a participé aux couleurs de L'Homme de Berlin, dix-huitième album de Victor Sackville dessiné par Francis Carin. Elle travaille pour Ersel, dans son troisième tome du Gardien de la lance et dans son deuxième tome des Derniers Jours de la Géhenne. En dehors de ses mises en couleurs à la gouache et au pinceau, Marie-Noëlle Bastin aime réaliser des portraits d'animaux et quelques peu de peinture à l'huile. Durant les vacances, elle anime aussi des stages de mise en couleurs pour les enfants… Bref, une artiste […]