Née en 1962, Sylvie Fontaine est une ancienne élève des Arts Décos de Paris, où elle hésite entre photographie et dessin. Elle choisit finalement ce dernier pour créer, à partir de rien, des images inhabituelles. Dessinatrice conceptrice dans la publicité à ses débuts, elle réalise désormais de nombreuses illustrations dans la presse et dans l’édition tout en écrivant des critiques et en donnant des cours de bande dessinée. Elle publie ses premières planches dans la revue Du 9, puis ses premiers albums aux éditions de la Cafetière à partir de 1999. Après Là-bas, c’est Cubik (deux tomes) qui lui vaut sa première notoriété. On y décèle déjà son goût pour les formes originales, l’imaginaire et le déguisement. En 2002, elle publie Changer Tout (Les Oiseaux de passage) et en 2005 Calamity (éditions BFB), un portrait de Calamity Jane vue par sa fille avec souffrance et pudeur. En 2007 enfin, Le Poulet du Dimanche, son sixième album, aligne des métamorphoses visuelles pour aborder les variations du moi. Un volume qui remporte une adhésion pleine et entière de la critique.
Texte © La boîte à bulles
Née en 1962, Sylvie Fontaine est une ancienne élève des Arts Décos de Paris, où elle hésite entre photographie et dessin. Elle choisit finalement ce dernier pour créer, à partir de rien, des images inhabituelles. Dessinatrice conceptrice dans la publicité à ses débuts, elle réalise désormais de nombreuses illustrations dans la presse et dans l’édition tout en écrivant des critiques et en donnant des cours de bande dessinée. Elle publie ses premières planches dans la revue Du 9, puis ses premiers albums aux éditions de la Cafetière à partir de 1999. Après Là-bas, c’est Cubik (deux tomes) qui lui vaut sa première notoriété. On y décèle déjà son goût pour les formes originales, l’imaginaire et le déguisement. En 2002, elle publie Changer Tout (Les Oiseaux de passage) et en 2005 Calamity (éditions BFB), un portrait de Calamity Jane vue par sa fille avec souffrance et pudeur. En 2007 enfin, Le Poulet du Dimanche, son sixième album, aligne des métamorphoses visuelles pour aborder les variations du moi. Un volume qui remporte une adhésion pleine et entière de la critique.
Texte © La boîte à bulles