Né en 1962, Franco Pilotta est passé par tous les métiers : menuisier, mécanicien et il y a trois ans encore, éducateur. Autodidacte, il dessine depuis l’âge de quinze ans avec la découverte des premières illustrations de Frazetta et Bernie Wrightson. Plus récemment, il est passionné par Civiello, Springer et Mathieu Lauffray. Il dessine en 1997 une histoire de six planches sur la légende de Gilles de Chin dans le collectif « Wallonie, terres de légendes » chez Noir dessin production. En 1999, il rencontre les deux scénaristes, Christian Simon et Fuat Erkol. Le dessin de leur premier projet étant jugé trop classique, Franco décide, pour le second, de se démarquer. Ainsi, pour « La marque du démon », il opte pour une mise en couleurs directe à l’acrylique, technique qu’il n’a encore jamais employée jusqu’alors. Le résultat est concluant puisqu’il signe quelques mois plus tard chez Albin Michel.
Né en 1962, Franco Pilotta est passé par tous les métiers : menuisier, mécanicien et il y a trois ans encore, éducateur. Autodidacte, il dessine depuis l’âge de quinze ans avec la découverte des premières illustrations de Frazetta et Bernie Wrightson. Plus récemment, il est passionné par Civiello, Springer et Mathieu Lauffray. Il dessine en 1997 une histoire de six planches sur la légende de Gilles de Chin dans le collectif « Wallonie, terres de légendes » chez Noir dessin production. En 1999, il rencontre les deux scénaristes, Christian Simon et Fuat Erkol. Le dessin de leur premier projet étant jugé trop classique, Franco décide, pour le second, de se démarquer. Ainsi, pour « La marque du démon », il opte pour une mise en couleurs directe à l’acrylique, technique qu’il n’a encore jamais employée jusqu’alors. Le résultat est concluant puisqu’il signe quelques mois plus tard chez Albin Michel.