À peine sorti du lycée et sans formation particulière, Nabiel Kanan se lance dans la réalisation et l’édition de sa première BD Exit, une chronique adolescente dont la publication, reprise par les éditions américaines Caliber, s’étendra de 1990 à 1997. Contacté par les éditions new-yorkaises NBM, il dessinera pour eux Lost Girl puis Birthday Riots. A 32 ans, Nabiel renoue aujourd’hui avec l’auto-édition, publiant ces mois-ci un one-shot Now and Then et une mini-série Drowners. Ses œuvres mettent à nu, en toute discrétion, l’âme de ses personnages, essentiellement des adolescents comme Beth mais aussi leurs parents. Bien que peu connaisseur de la BD francobelge et de l’underground américain, son style le rapproche d’auteurs tels que Cosey, Seth ou Tomine…
Texte © La boîte à bulles
À peine sorti du lycée et sans formation particulière, Nabiel Kanan se lance dans la réalisation et l’édition de sa première BD Exit, une chronique adolescente dont la publication, reprise par les éditions américaines Caliber, s’étendra de 1990 à 1997. Contacté par les éditions new-yorkaises NBM, il dessinera pour eux Lost Girl puis Birthday Riots. A 32 ans, Nabiel renoue aujourd’hui avec l’auto-édition, publiant ces mois-ci un one-shot Now and Then et une mini-série Drowners. Ses œuvres mettent à nu, en toute discrétion, l’âme de ses personnages, essentiellement des adolescents comme Beth mais aussi leurs parents. Bien que peu connaisseur de la BD francobelge et de l’underground américain, son style le rapproche d’auteurs tels que Cosey, Seth ou Tomine…
Texte © La boîte à bulles