Né en 1973, Manuel Bichebois est diplômé de l’école de design Polycréa. Désirant travailler dans le monde du jeu vidéo, il entre chez Kalisto Entertainment en 1997, où il sera graphiste et scénariste jusqu’en 2002. Il y rencontre Didier Poli, avec qui il commence à travailler sur un projet de bande dessinée pour les Humanoïdes Associés. La série L’Enfant de l’orage naît en 2003, et reflète bien le style de ses auteurs, entre heroïc-fantasy et steampunk (même si ces derniers refusent d’être catalogués dans l’un ou l’autre genre). Bichebois écrit et réalise par la suite son premier court-métrage, Bonne nuit mon amour. Il a d’autre part travaillé pour la société de jeux de rôle Rackham, et oeuvre maintenant comme lead graphist chez Dassault Systèmes. On n’abandonne pas un univers aussi riche après seulement trois albums. Alors il se murmure que déjà, dans le secret de son laboratoire, Manuel aurait repris la plume pour écrire une suite, destinée à un nouveau dessinateur, intitulée Le Prince de l’orage. Mais chut !
Texte et photo © Humanoïdes Associés
Né en 1973, Manuel Bichebois est diplômé de l’école de design Polycréa. Désirant travailler dans le monde du jeu vidéo, il entre chez Kalisto Entertainment en 1997, où il sera graphiste et scénariste jusqu’en 2002. Il y rencontre Didier Poli, avec qui il commence à travailler sur un projet de bande dessinée pour les Humanoïdes Associés. La série L’Enfant de l’orage naît en 2003, et reflète bien le style de ses auteurs, entre heroïc-fantasy et steampunk (même si ces derniers refusent d’être catalogués dans l’un ou l’autre genre). Bichebois écrit et réalise par la suite son premier court-métrage, Bonne nuit mon amour. Il a d’autre part travaillé pour la société de jeux de rôle Rackham, et oeuvre maintenant comme lead graphist chez Dassault Systèmes. On n’abandonne pas un univers aussi riche après seulement trois albums. Alors il se murmure que déjà, dans le secret de son laboratoire, Manuel aurait repris la plume pour écrire une suite, destinée à un nouveau dessinateur, intitulée Le Prince de l’orage. Mais chut !
Texte et photo © Humanoïdes Associés