Né près de Strasbourg, Michel Koeniguer a fréquenté l’école des Arts déco de Strasbourg, puis la section Arts plastiques de la faculté. Il a collaboré à divers fanzine aussi vite disparus qu’ils avaient vu le jour. De 2002 à 2005, il réalise la trilogie « Bushido ». En 2005, il commence une nouvelle histoire, « Brooklyn 62nd ». Mais c'est en 2008 qu'il se lance dans le domaine qui l'attire le plus, en réalisant un récit sur la guerre d'Irak, « The Bridge », puis la trilogie « Bombroad » sur la guerre du Vietnam, qu'il poursuit par un nouveau récit intitulé « Misty Mission ». En 2019, il entame l'ambitieux projet « Berlin sera notre tombeau », racontant les derniers jours du régime nazi à Berlin en 1945, et la participation de soldats français au sein de la Wehrmacht. Décédé en avril 2021, Michel Koeniguer laisse une oeuvre exigeante d'une grande rigueur historique et graphique.
Texte et photo © Paquet
Né près de Strasbourg, Michel Koeniguer a fréquenté l’école des Arts déco de Strasbourg, puis la section Arts plastiques de la faculté. Il a collaboré à divers fanzine aussi vite disparus qu’ils avaient vu le jour. De 2002 à 2005, il réalise la trilogie « Bushido ». En 2005, il commence une nouvelle histoire, « Brooklyn 62nd ». Mais c'est en 2008 qu'il se lance dans le domaine qui l'attire le plus, en réalisant un récit sur la guerre d'Irak, « The Bridge », puis la trilogie « Bombroad » sur la guerre du Vietnam, qu'il poursuit par un nouveau récit intitulé « Misty Mission ». En 2019, il entame l'ambitieux projet « Berlin sera notre tombeau », racontant les derniers jours du régime nazi à Berlin en 1945, et la participation de soldats français au sein de la Wehrmacht. Décédé en avril 2021, Michel Koeniguer laisse une oeuvre exigeante d'une grande rigueur historique et graphique.
Texte et photo © Paquet