Scénariste et dessinateur de grande qualité, il publie chez Mosquito "Castor Joseph" en 1998, puis en 2000 "Robert le Diable". On lui doit chez Soleil "L'Ombre de l'éventreur" de la série Carland Cross sorti en 2004. Il réalise actuellement un nouvel album "Mort London" avec Rodolphe au scénario qui doit sortir en février 2005. C'est dans les années 80 que j'ai rencontré Wens pour la première fois. Il parlait déjà aux tortues et vouait un culte exacerbé et légèrement suspect à l'œuvre d'Anatole France. Il signait alors Rufus Agnostyle Junior, pseudonyme qu'il abandonna rapidement pour celui de Wens, nettement plus lucratif. Dans ces années là, il faillit être publié par un grand nombre d'éditeurs, mais le sort s'acharnait sur lui et sur son œuvre. Aujourd'hui, la mode des "petits éditeurs indépendants" aidant (au point que les grands éditeurs dépendants la copient tous), son œuvre la plus personnelle, le plus profonde, la plus concernée par les problèmes de l'époque, voient enfin le jour. Grâces en soient rendues au Grand Biscornu...
Texte et photo © Mosquito
Scénariste et dessinateur de grande qualité, il publie chez Mosquito "Castor Joseph" en 1998, puis en 2000 "Robert le Diable". On lui doit chez Soleil "L'Ombre de l'éventreur" de la série Carland Cross sorti en 2004. Il réalise actuellement un nouvel album "Mort London" avec Rodolphe au scénario qui doit sortir en février 2005. C'est dans les années 80 que j'ai rencontré Wens pour la première fois. Il parlait déjà aux tortues et vouait un culte exacerbé et légèrement suspect à l'œuvre d'Anatole France. Il signait alors Rufus Agnostyle Junior, pseudonyme qu'il abandonna rapidement pour celui de Wens, nettement plus lucratif. Dans ces années là, il faillit être publié par un grand nombre d'éditeurs, mais le sort s'acharnait sur lui et sur son œuvre. Aujourd'hui, la mode des "petits éditeurs indépendants" aidant (au point que les grands éditeurs dépendants la copient tous), son œuvre la plus personnelle, le plus profonde, la plus concernée par les problèmes de l'époque, voient enfin le jour. Grâces en soient rendues au Grand Biscornu...
Texte et photo © Mosquito