Né un 2 décembre, Jean-François Cellier c’est un peu l’Obélix de la BD, il est tombé dedans quand il était tout petit. “Mon grand frère m’a donné le goût de la bande dessinée. Il était plus passionné de dessin que moi. Plus jeune je lisais plutôt les franco-belges Moebius, Plessix, Thierry Ségur... c’est avec lui que j’ai eu le déclic. Gamin, je décorais déjà mes cahiers, je faisais des BD et je les vendais à mes copains... J’ai raté mes études à cause du dessin, je dessinais en cours. Ce n’était pas une fuite juste une envie de dessiner, pareil au lycée. J’ai arrêté en première et suis parti à l’armée. En rentrant, je me suis payé des cours dans une école privée de dessin : Émile-Cohl, où je suis resté trois ans. Je dessine pendant un temps des jaquettes de jeux vidéo pour Infogrammes, je deviens graphiste et participe à un concours en Suisse.” Jeune dessinateur vénissian, le hasard va placer Loisel sur sa route. L’auteur de BD apprécie son travail et le met en relation avec le scénariste Jean Blaise Miltidjian (Djian). C’est ainsi que naît le “Maître du Hasard” premier album proposé et accepté aux Éditions Soleil.
Texte © Soleil
Né un 2 décembre, Jean-François Cellier c’est un peu l’Obélix de la BD, il est tombé dedans quand il était tout petit. “Mon grand frère m’a donné le goût de la bande dessinée. Il était plus passionné de dessin que moi. Plus jeune je lisais plutôt les franco-belges Moebius, Plessix, Thierry Ségur... c’est avec lui que j’ai eu le déclic. Gamin, je décorais déjà mes cahiers, je faisais des BD et je les vendais à mes copains... J’ai raté mes études à cause du dessin, je dessinais en cours. Ce n’était pas une fuite juste une envie de dessiner, pareil au lycée. J’ai arrêté en première et suis parti à l’armée. En rentrant, je me suis payé des cours dans une école privée de dessin : Émile-Cohl, où je suis resté trois ans. Je dessine pendant un temps des jaquettes de jeux vidéo pour Infogrammes, je deviens graphiste et participe à un concours en Suisse.” Jeune dessinateur vénissian, le hasard va placer Loisel sur sa route. L’auteur de BD apprécie son travail et le met en relation avec le scénariste Jean Blaise Miltidjian (Djian). C’est ainsi que naît le “Maître du Hasard” premier album proposé et accepté aux Éditions Soleil.
Texte © Soleil