Dès l’âge de 12-13 ans, j’ai commencé à m’intéresser à l’art nouveau européen, en regardant vers l’Allemagne, l’Autriche, la Wiener Werkstätte, Josef Hoffmann, Hans Christiansen, Otto Wagner… Puis j’ai arpenté les brocantes, les déballages marchands, les salles des ventes. Et à 17 ou 18 ans, au marché des Antiquaires du Sablon, je suis tombé sur une paire de chenets. Ils n’étaient pas attribués, mais j’ai senti qu’il s’agissait de quelque chose d’important, et je les ai achetés. J’ai su plus tard, en feuilletant un livre de François Loyer où ils apparaissaient, qu’ils étaient de Paul Hankar. Ces objets m’ont ouvert les yeux sur l’art nouveau belge.
Dès l’âge de 12-13 ans, j’ai commencé à m’intéresser à l’art nouveau européen, en regardant vers l’Allemagne, l’Autriche, la Wiener Werkstätte, Josef Hoffmann, Hans Christiansen, Otto Wagner… Puis j’ai arpenté les brocantes, les déballages marchands, les salles des ventes. Et à 17 ou 18 ans, au marché des Antiquaires du Sablon, je suis tombé sur une paire de chenets. Ils n’étaient pas attribués, mais j’ai senti qu’il s’agissait de quelque chose d’important, et je les ai achetés. J’ai su plus tard, en feuilletant un livre de François Loyer où ils apparaissaient, qu’ils étaient de Paul Hankar. Ces objets m’ont ouvert les yeux sur l’art nouveau belge.