Nour Ben Slimane sature l’espace de ses compositions au feutre, parfois rehaussé d’acrylique. Doté d’une prodigieuse mémoire, passionné par le cinéma, l’artiste parsème ses réalisations de génériques de films, ajoutant le texte au dessin. La graphie de ses légendes, en lettres capitales, et dont l’épaisseur de traits varie, sa régularité, participe à construire l’image. L’œil navigue dans cette profusion. S’il saisit au premier regard des noms de comédiens, de lieux, des dates, il découvre ensuite une galerie de personnages aux cheveux dressés sur la tête : enivrés de références, ébahis par la profusion des formes ? Ou simplement étonnés de découvrir, dans cet univers noir et blanc, quelques géométries monochromes, couleurs en suspens.
Photo © Jeanne Bidlot
Texte © creahmbxl
Nour Ben Slimane sature l’espace de ses compositions au feutre, parfois rehaussé d’acrylique. Doté d’une prodigieuse mémoire, passionné par le cinéma, l’artiste parsème ses réalisations de génériques de films, ajoutant le texte au dessin. La graphie de ses légendes, en lettres capitales, et dont l’épaisseur de traits varie, sa régularité, participe à construire l’image. L’œil navigue dans cette profusion. S’il saisit au premier regard des noms de comédiens, de lieux, des dates, il découvre ensuite une galerie de personnages aux cheveux dressés sur la tête : enivrés de références, ébahis par la profusion des formes ? Ou simplement étonnés de découvrir, dans cet univers noir et blanc, quelques géométries monochromes, couleurs en suspens.
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