Miguel Porto (né à Vigo en 1980), diplômé des Beaux-Arts, travaille dans le domaine de l'illustration et de la bande dessinée. Depuis 2012, il combine ces activités avec un travail d'enseignement à l'école de bande dessinée O Garaxe Hermético. En 2014, il crée le festival de dessin nature dans la campagne de Bosquexo, où il continue de travailler comme directeur et organisateur. Sa signature apparaît dans de nombreuses publications de bandes dessinées. Il s'agit des albums « Tirant lo Blanc » (2008), « Allen son of Hellcock » (pour le marché américain, sur un scénario de William Tracy et Gabe Koplowitz, 2017) ou « Subnormal, a story of bullying » (sur un scénario de Fernando Llor, 2020 ; traduit en français chez Des ronds dans l'O, 2024). En tant qu'illustrateur, il travaille principalement sur des manuels scolaires pour divers éditeurs. Il réalise également des illustrations dans la presse, des storyboards pour des publicités ou encore des affiches pour diverses sociétés de production.
Texte et photo © Des ronds dans l'O
Miguel Porto (né à Vigo en 1980), diplômé des Beaux-Arts, travaille dans le domaine de l'illustration et de la bande dessinée. Depuis 2012, il combine ces activités avec un travail d'enseignement à l'école de bande dessinée O Garaxe Hermético. En 2014, il crée le festival de dessin nature dans la campagne de Bosquexo, où il continue de travailler comme directeur et organisateur. Sa signature apparaît dans de nombreuses publications de bandes dessinées. Il s'agit des albums « Tirant lo Blanc » (2008), « Allen son of Hellcock » (pour le marché américain, sur un scénario de William Tracy et Gabe Koplowitz, 2017) ou « Subnormal, a story of bullying » (sur un scénario de Fernando Llor, 2020 ; traduit en français chez Des ronds dans l'O, 2024). En tant qu'illustrateur, il travaille principalement sur des manuels scolaires pour divers éditeurs. Il réalise également des illustrations dans la presse, des storyboards pour des publicités ou encore des affiches pour diverses sociétés de production.
Texte et photo © Des ronds dans l'O