Olivier Boscovitch a sept ans quand ses cousines ados l’initient aux Eagles, à Supertramp, Boney M et aux Rolling Stones. Un an plus tard, c’est une chanson de ces Sataniques Majestés qui va lui filer le virus du binaire : balade tirée de l’album ‘‘Black and Blue’’, ‘‘Fool to Cry’’, avec les miaulements de Jagger sur les accords chaloupés du Fender Rhodes, marque le gamin.
Plus tard, élève en rupture, il laisse son imagination divaguer sur les silhouettes androgynes de Jagger et Bowie, adhère à la morgue de Johnny Rotten et décide de mettre son don pour le dessin au service de ses passions : le rock, le punk, l’électro.
Flyers, direction artistique et clips pour David Guetta, Bob Sinclar, Pedro Winter ou le guitariste de Rush, chroniques graphiques dans des magazines, les performances d’Olivier enluminent depuis une trentaine d’années l’évolution d’un genre musical majeur.
Olivier Boscovitch a sept ans quand ses cousines ados l’initient aux Eagles, à Supertramp, Boney M et aux Rolling Stones. Un an plus tard, c’est une chanson de ces Sataniques Majestés qui va lui filer le virus du binaire : balade tirée de l’album ‘‘Black and Blue’’, ‘‘Fool to Cry’’, avec les miaulements de Jagger sur les accords chaloupés du Fender Rhodes, marque le gamin.
Plus tard, élève en rupture, il laisse son imagination divaguer sur les silhouettes androgynes de Jagger et Bowie, adhère à la morgue de Johnny Rotten et décide de mettre son don pour le dessin au service de ses passions : le rock, le punk, l’électro.
Flyers, direction artistique et clips pour David Guetta, Bob Sinclar, Pedro Winter ou le guitariste de Rush, chroniques graphiques dans des magazines, les performances d’Olivier enluminent depuis une trentaine d’années l’évolution d’un genre musical majeur.