Née en France, cette franco-libanaise propose au journaliste qui l’interroge de l’appeler Mariam et préfère conserver l’anonymat. C’est une “véritable passionnée de peinture et de théâtre (elle dessine depuis toujours et a fait trois ans au cours Florent)”, qui travaille le format numérique, avec une tablette, nous renseigne le quotidien. Reviennent régulièrement dans ses planches la question de l’identité libanaise et le mot thawra, la “révolution”, au sujet du vaste mouvement de contestation du pouvoir en place, lancé fin 2019.
Pour poursuivre la réflexion engagée à travers ses dessins et son compte Instagram, et encouragée par les réactions positives, elle a lancé fin août 2021 une campagne de financement participative pour autoéditer une version imprimée de son récit en bande dessinée.
Née en France, cette franco-libanaise propose au journaliste qui l’interroge de l’appeler Mariam et préfère conserver l’anonymat. C’est une “véritable passionnée de peinture et de théâtre (elle dessine depuis toujours et a fait trois ans au cours Florent)”, qui travaille le format numérique, avec une tablette, nous renseigne le quotidien. Reviennent régulièrement dans ses planches la question de l’identité libanaise et le mot thawra, la “révolution”, au sujet du vaste mouvement de contestation du pouvoir en place, lancé fin 2019.
Pour poursuivre la réflexion engagée à travers ses dessins et son compte Instagram, et encouragée par les réactions positives, elle a lancé fin août 2021 une campagne de financement participative pour autoéditer une version imprimée de son récit en bande dessinée.