Diplômée d’un Dnsep Illustration à la Hear de Strasbourg, Clara Hervé travaille sur ce qu’elle nomme les formats extrêmes (très petit ou très grand), recherche des rythmes entre les formes et s’intéresse à la sérigraphie. L’étudiante se confronte dans un premier temps à un format imposant, imprimant des drapeaux en sérigraphie. Elle expérimente différents types de compositions, déployant l’image sur l’espace du tissu. Tandis que son premier drapeau est morcelé, créant une profusion de couleurs et de formes, le second est centré sur une image unique, forte et narrative. Par la suite, Clara collecte des chutes de bois. Selon leurs formes et avec quelques coups de pinceaux, elle les métamorphose en animaux. Singe, toucan, girafe, serpent, le bestiaire s’agrandit petit à petit. Empilées, alignées, ces formes géométriques constituent des compositions rythmées.
Clara réalise également des affiches sérigraphiées qui reprennent le thème du bestiaire. Les aplats de couleurs primaires sont soutenus par un fond noir qui fait ressortir les teintes vives de la ménagerie. Après avoir conçu une multitude de grand formats, l’étudiante imagine de tout petits objets. Elle écrit et imprime en sérigraphie des micro-récits prenant la forme d’un accordéon, insérés dans des boîtes d’allumettes. Au nombre de sept, comme les jours de la semaine, chaque histoire fonctionne en autonomie ou en résonance. Le format lilliputien attire la curiosité du lecteur. Enfin la série Tout va bien – réalisée en duo avec Pierre Issen, un ami illustrateur – dépeint avec ironie des situations absurdes. L’ensemble des illustrations composent un livre de cartes postales, que le lecteur peut détacher. Avec finesse, Clara Hervé nous entraine dans son univers graphique, de l’infiniment grand à l’infiniment petit.
Diplômée d’un Dnsep Illustration à la Hear de Strasbourg, Clara Hervé travaille sur ce qu’elle nomme les formats extrêmes (très petit ou très grand), recherche des rythmes entre les formes et s’intéresse à la sérigraphie. L’étudiante se confronte dans un premier temps à un format imposant, imprimant des drapeaux en sérigraphie. Elle expérimente différents types de compositions, déployant l’image sur l’espace du tissu. Tandis que son premier drapeau est morcelé, créant une profusion de couleurs et de formes, le second est centré sur une image unique, forte et narrative. Par la suite, Clara collecte des chutes de bois. Selon leurs formes et avec quelques coups de pinceaux, elle les métamorphose en animaux. Singe, toucan, girafe, serpent, le bestiaire s’agrandit petit à petit. Empilées, alignées, ces formes géométriques constituent des compositions rythmées.
Clara réalise également des affiches sérigraphiées qui reprennent le thème du bestiaire. Les aplats de couleurs primaires sont soutenus par un fond noir qui fait ressortir les teintes vives de la ménagerie. Après avoir conçu une multitude de grand formats, l’étudiante imagine de tout petits objets. Elle écrit et imprime en sérigraphie des micro-récits prenant la forme d’un accordéon, insérés dans des boîtes d’allumettes. Au nombre de sept, comme les jours de la semaine, chaque histoire fonctionne en autonomie ou en résonance. Le format lilliputien attire la curiosité du lecteur. Enfin la série Tout va bien – réalisée en duo avec Pierre Issen, un ami illustrateur – dépeint avec ironie des situations absurdes. L’ensemble des illustrations composent un livre de cartes postales, que le lecteur peut détacher. Avec finesse, Clara Hervé nous entraine dans son univers graphique, de l’infiniment grand à l’infiniment petit.