Je m'appelle Antoinette mais j'aime bien qu'on m'appelle Anto, je suis originaire de Picardie. Je viens de terminer mes (loooooongues) études, commencées à Estienne en illustration, déviées (tel un itinéraire sur une route en travaux), en socio et enfin (re)bifurquées en Illustration à Strasbourg dans un genre de boucle bouclée. C'est durant cette dernière et non moins amusante parcelle de vie à Strasbourg, que j'ai commencé à faire de la bande dessinée.
Je me suis rendu compte avec un certain ravissement que ce médium me permettait de bavarder sans beaucoup de retenue, autorisant (je l'espère) une écriture un peu cabossée et anecdotique, parfois bizarre ou poétique et me forçant à développer l'expressivité de mes personnages. Je m'intéresse également à l'album jeunesse. Ainsi donc, je persévère dans cette direction.
Ma bande dessinée s'appelle « Le répondeur des oiseaux ». J'ai trouvé ça joli. Je ne sais pas d'où m'est venu l'idée de l'histoire mais je m'y suis accrochée comme à un petit radeau biscornu. Cette fois j'ai eu envie de faire quelque chose de plus absurde et plus poétique que par le passé, de plus dessiner comme dans mes carnets, des humain.e.s pommé.e.s.
Je m'appelle Antoinette mais j'aime bien qu'on m'appelle Anto, je suis originaire de Picardie. Je viens de terminer mes (loooooongues) études, commencées à Estienne en illustration, déviées (tel un itinéraire sur une route en travaux), en socio et enfin (re)bifurquées en Illustration à Strasbourg dans un genre de boucle bouclée. C'est durant cette dernière et non moins amusante parcelle de vie à Strasbourg, que j'ai commencé à faire de la bande dessinée.
Je me suis rendu compte avec un certain ravissement que ce médium me permettait de bavarder sans beaucoup de retenue, autorisant (je l'espère) une écriture un peu cabossée et anecdotique, parfois bizarre ou poétique et me forçant à développer l'expressivité de mes personnages. Je m'intéresse également à l'album jeunesse. Ainsi donc, je persévère dans cette direction.
Ma bande dessinée s'appelle « Le répondeur des oiseaux ». J'ai trouvé ça joli. Je ne sais pas d'où m'est venu l'idée de l'histoire mais je m'y suis accrochée comme à un petit radeau biscornu. Cette fois j'ai eu envie de faire quelque chose de plus absurde et plus poétique que par le passé, de plus dessiner comme dans mes carnets, des humain.e.s pommé.e.s.