Eugenio Mandrini était un poète, écrivain et scénariste argentin.
Dès son plus jeune âge, il écrit des histoires pour des magazines tels que Maribel y Vosotras et des histoires policières pour la Editorial Codex. En tant que scénariste de bandes dessinées, il a travaillé dans diverses revues de la Editorial Columba aux côtés de dessinateurs tels que Domingo Mandrafina, Horacio Altuna, Gustavo Trigo et Alberto et Enrique Breccia, entre autres. Parmi ses œuvres marquantes du genre, on peut citer son adaptation de "Cabecita Negra" de Germán Rozenmacher (avec des dessins de Solano López) qui faisait partie de l'anthologie La Argentina en pedazos de Ricardo Piglia.
Sa passion pour le tango l'a amené à codiriger pendant 30 ans la revue Buenos Aires, tango y lo demás. Déjà universitaire titulaire à l'Académie nationale de tango, il a publié l'essai Discépolo, la desperación y Dios (1998) et produit l'anthologie Los poetas del Tango (2000).
En 1987, il sort Criaturas de los bosques de papel, poemas y cuentos, puis Campo de apariciones (1993) et Párpados para el ojo que sale de mí (1999). Il a été membre fondateur de la “Sociedad de los Poetas Vivos” (avec les poètes Marcos Silber, Hugo Toscadaray, Carlos Carbone et Carlos Levy), à travers laquelle il a intégré plusieurs anthologies de poésie.
En 2009, elle a remporté le prix Olga Orozco pour son livre Conejos en la nieve, aujourd'hui un livre essentiel de la poésie argentine, et a ensuite reçu le premier prix municipal de poésie (2008/2009). Mandrini s'est récemment consacré à l'écriture de nouvelles, après la sortie en Espagne de son livre Las otras criaturas. Dans l'un de ses derniers rapports, il soulignait : « Si vous me demandez ce qu'est la poésie, je réponds que c'est un état d'aveuglement d'où l'on voit d'autres lumières, même d'autres ombres. Si vous me demandez ce qu'est la microfiction, je réponds que c'est un rayon de lumière dans une cave ou plutôt le scorpion qui vient mordre ma chemise. Je pense que le poème et la microfiction sont des constructions que j’essaie de construire à travers d’innombrables ébauches, si nombreuses qu’elles recouvrent le sol.
Eugenio Mandrini était un poète, écrivain et scénariste argentin.
Dès son plus jeune âge, il écrit des histoires pour des magazines tels que Maribel y Vosotras et des histoires policières pour la Editorial Codex. En tant que scénariste de bandes dessinées, il a travaillé dans diverses revues de la Editorial Columba aux côtés de dessinateurs tels que Domingo Mandrafina, Horacio Altuna, Gustavo Trigo et Alberto et Enrique Breccia, entre autres. Parmi ses œuvres marquantes du genre, on peut citer son adaptation de "Cabecita Negra" de Germán Rozenmacher (avec des dessins de Solano López) qui faisait partie de l'anthologie La Argentina en pedazos de Ricardo Piglia.
Sa passion pour le tango l'a amené à codiriger pendant 30 ans la revue Buenos Aires, tango y lo demás. Déjà universitaire titulaire à l'Académie nationale de tango, il a publié l'essai Discépolo, la desperación y Dios (1998) et produit l'anthologie Los poetas del Tango (2000).
En 1987, il sort Criaturas de los bosques de papel, poemas y cuentos, puis Campo de apariciones (1993) et Párpados para el ojo que sale de mí (1999). Il a été membre fondateur de la “Sociedad de los Poetas Vivos” (avec les poètes Marcos Silber, Hugo Toscadaray, Carlos Carbone et Carlos Levy), à travers laquelle il a intégré plusieurs anthologies de poésie.
En 2009, elle a remporté le prix Olga Orozco pour son livre Conejos en la nieve, aujourd'hui un livre essentiel de la poésie argentine, et a ensuite reçu le premier prix municipal de poésie (2008/2009). Mandrini s'est récemment consacré à l'écriture de nouvelles, après la sortie en Espagne de son livre Las otras criaturas. Dans l'un de ses derniers rapports, il soulignait : « Si vous me demandez ce qu'est la poésie, je réponds que c'est un état d'aveuglement d'où l'on voit d'autres lumières, même d'autres ombres. Si vous me demandez ce qu'est la microfiction, je réponds que c'est un rayon de lumière dans une cave ou plutôt le scorpion […]
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Creepy (Toutain - 1979 - Primera época)
