Né à Oran (Algérie) en 1959, peintre, dessinateur de timbres, illustrateur littéraire et scientifique, Jame's Prunier a suivi une formation artistique à l’École de l’image d’Épinal et à l’École Nationale Supérieure d’Art de Nancy.
Attiré par l’industrie, les machines et les moyens de transports, il travaille sur l’histoire des chemins de fer et surtout de l’aviation. Cet engagement spécifique autour de l’aérien se concrétise par l’obtention du titre de « Peintre officiel de l’air » en 1992. Il réalise également des timbres pour La Poste. En peinture le paysage naturel et urbain constitue l’essentiel de son œuvre. Les pieds sur terre, il nous donne à voir au fil de ses tableaux, où le ciel donne le ton, les perspectives et les formes urbaines de sa ville selon des points de regards choisis. Sa restitution particulièrement sensible de la lumière fait de ceux-ci des interprétations intemporelles, de la Place Stanislas ou d’autres lieux nancéiens. En élévation au-dessus de la terre, ses points de vues nous entraînent vers une construction-déconstruction des images-paysages selon un rythme géométrique totalement vertical, sans perspective, comme une analyse des strates et des éléments de notre société. Il les nomme «Vertical Land Art ». Ces peintures représentent la tendance actuelle de ses recherches artistiques. Récompensé par plusieurs Prix, le Prix Galilée de l’Académie Stanislas a salué en 2004 l’ensemble de son œuvre.
Né à Oran (Algérie) en 1959, peintre, dessinateur de timbres, illustrateur littéraire et scientifique, Jame's Prunier a suivi une formation artistique à l’École de l’image d’Épinal et à l’École Nationale Supérieure d’Art de Nancy.
Attiré par l’industrie, les machines et les moyens de transports, il travaille sur l’histoire des chemins de fer et surtout de l’aviation. Cet engagement spécifique autour de l’aérien se concrétise par l’obtention du titre de « Peintre officiel de l’air » en 1992. Il réalise également des timbres pour La Poste. En peinture le paysage naturel et urbain constitue l’essentiel de son œuvre. Les pieds sur terre, il nous donne à voir au fil de ses tableaux, où le ciel donne le ton, les perspectives et les formes urbaines de sa ville selon des points de regards choisis. Sa restitution particulièrement sensible de la lumière fait de ceux-ci des interprétations intemporelles, de la Place Stanislas ou d’autres lieux nancéiens. En élévation au-dessus de la terre, ses points de vues nous entraînent vers une construction-déconstruction des images-paysages selon un rythme géométrique totalement vertical, sans perspective, comme une analyse des strates et des éléments de notre société. Il les nomme «Vertical Land Art ». Ces peintures représentent la tendance actuelle de ses recherches artistiques. Récompensé par plusieurs Prix, le Prix Galilée de l’Académie Stanislas a salué en 2004 l’ensemble de son œuvre.