Hans Ulrich Obrist, né en mai 1968 en Suisse, est un commissaire d'exposition indépendant parmi les plus influents sur la scène internationale. Hans Ulrich Obrist organise sa première exposition dans sa cuisine au début des années 1990. « Elle résultait d'un dialogue avec Christian Boltanski, Fischli et Weiss et d'autres artistes qui, à ce moment-là encourageaient cette option d'organiser des expositions dans un autre contexte que celui habituel des galeries, des centres d'art et des musées. » Depuis il a été co-curateur de nombreuses biennales internationales et commissaire de plus de 300 expositions.
Il a enseigné dans de prestigieuses institutions universitaires et artistiques et donné d’innombrables conférences. Il est aussi l’auteur d’une importante production éditoriale, notamment The Conversation Series, une collection de rencontres avec des artistes.
Auparavant conservateur du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, il est aujourd’hui directeur artistique de la Serpentine Gallery à Londres.
Texte © Centre Pompidou
Hans Ulrich Obrist, né en mai 1968 en Suisse, est un commissaire d'exposition indépendant parmi les plus influents sur la scène internationale. Hans Ulrich Obrist organise sa première exposition dans sa cuisine au début des années 1990. « Elle résultait d'un dialogue avec Christian Boltanski, Fischli et Weiss et d'autres artistes qui, à ce moment-là encourageaient cette option d'organiser des expositions dans un autre contexte que celui habituel des galeries, des centres d'art et des musées. » Depuis il a été co-curateur de nombreuses biennales internationales et commissaire de plus de 300 expositions.
Il a enseigné dans de prestigieuses institutions universitaires et artistiques et donné d’innombrables conférences. Il est aussi l’auteur d’une importante production éditoriale, notamment The Conversation Series, une collection de rencontres avec des artistes.
Auparavant conservateur du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, il est aujourd’hui directeur artistique de la Serpentine Gallery à Londres.
Texte © Centre Pompidou