Jean Hatzfeld, né en 1949, est devenu journaliste aux débuts de Libération dans le milieu des années 70. D'abord journaliste sportif, il deviendra grand reporter pour suivre les guerres du Moyen-Orient, d'Afrique et des Balkans. De ces vingt-cinq années de correspondance, il écrira un récit, L'Air de la guerre (l'Olivier, 1994 ; Prix Novembre), puis un premier roman, La Guerre au bord du fleuve (l'Olivier, 1999), et plus tard un autre roman La Ligne de flottaison (Le Seuil, 2005) autour du thème de l'écriture et la guerre. À partir de 2000, il suspend son activité, pour se consacrer à un travail littéraire sur le génocide tutsi aux bords des marais de Nyamata, au Rwanda, qui débouchera sur la publication d'une trilogie.
Jean Hatzfeld, né en 1949, est devenu journaliste aux débuts de Libération dans le milieu des années 70. D'abord journaliste sportif, il deviendra grand reporter pour suivre les guerres du Moyen-Orient, d'Afrique et des Balkans. De ces vingt-cinq années de correspondance, il écrira un récit, L'Air de la guerre (l'Olivier, 1994 ; Prix Novembre), puis un premier roman, La Guerre au bord du fleuve (l'Olivier, 1999), et plus tard un autre roman La Ligne de flottaison (Le Seuil, 2005) autour du thème de l'écriture et la guerre. À partir de 2000, il suspend son activité, pour se consacrer à un travail littéraire sur le génocide tutsi aux bords des marais de Nyamata, au Rwanda, qui débouchera sur la publication d'une trilogie.