Comme beaucoup d’Auvergnats de sa génération, il « monte » à Paris. Là, il acqu iert une formation de serrurier, tout en s’entraînant à vélo. La seconde Guerre Mondiale trouble son existence lorsqu’un jour on vient le chercher pour ouvrir la porte d’une maison juive, il décide de rejoindre la Résistance. La Libération arrive et Pierre CHANY embrasse la profession de journaliste. Il entre au journal L’Equipe où il ne tarde pas à s’imposer sous la rubrique « cyclisme». Il deviendra même une réfé rence du monde cycliste, ne l’a-t-on pas surnommé « le pape du cyclisme », de nombreuses récompenses viennent jalonner sa carrière (Grand prix du meilleur article (1967), Grand prix de la Littérature sportive (1972), Prix du souvenir Fausto-Coppi (1981), Prix Henry-Desgrange (1982), Prix Lucien d’Apo (1983), Le guidon d’Or (1991)).
Fin 1987 il prend sa retraite, mais continue de suivre les grandes courses cyclistes. Son talent journalistique est certain, et lui permet de relater l’actualité cycliste avec un brio incontesté, mais sa passion pour ce sport l’entraîne dans des recherches qui firent de lui un historien du cyclisme encore inégalé, il écrivit de nombreux ouvrages qui font encore référence (Arriva Coppi – La fabuleuse Histoire du cyclisme – La fabuleuse Histoire du Tour de France – La fabuleuse Histoire des grandes classiques et des Championnats du monde – Le Tour de France – L’Année du cyclisme (17 éditions)).
Tous ceux qui l’approchèrent, reconnaissent en lui un homme au parler vrai, qui savait exprimer d’une façon très directe son analyse toujours pertinente, tant dans son domaine de prédilection qu’était le cyclisme, mais également dans bien d’autres domaines, car Pierre CHANY était un homme qui connaissait les valeurs de la vie. Le 18 juin 1996, alors qu’il s’apprête à suivre son 50ème Tour de France, la mort vient le cueillir au terme de son dernier Dauphiné Libéré.
Comme beaucoup d’Auvergnats de sa génération, il « monte » à Paris. Là, il acqu iert une formation de serrurier, tout en s’entraînant à vélo. La seconde Guerre Mondiale trouble son existence lorsqu’un jour on vient le chercher pour ouvrir la porte d’une maison juive, il décide de rejoindre la Résistance. La Libération arrive et Pierre CHANY embrasse la profession de journaliste. Il entre au journal L’Equipe où il ne tarde pas à s’imposer sous la rubrique « cyclisme». Il deviendra même une réfé rence du monde cycliste, ne l’a-t-on pas surnommé « le pape du cyclisme », de nombreuses récompenses viennent jalonner sa carrière (Grand prix du meilleur article (1967), Grand prix de la Littérature sportive (1972), Prix du souvenir Fausto-Coppi (1981), Prix Henry-Desgrange (1982), Prix Lucien d’Apo (1983), Le guidon d’Or (1991)).
Fin 1987 il prend sa retraite, mais continue de suivre les grandes courses cyclistes. Son talent journalistique est certain, et lui permet de relater l’actualité cycliste avec un brio incontesté, mais sa passion pour ce sport l’entraîne dans des recherches qui firent de lui un historien du cyclisme encore inégalé, il écrivit de nombreux ouvrages qui font encore référence (Arriva Coppi – La fabuleuse Histoire du cyclisme – La fabuleuse Histoire du Tour de France – La fabuleuse Histoire des grandes classiques et des Championnats du monde – Le Tour de France – L’Année du cyclisme (17 éditions)).
Tous ceux qui l’approchèrent, reconnaissent en lui un homme au parler vrai, qui savait exprimer d’une façon très directe son analyse toujours pertinente, tant dans son domaine de prédilection qu’était le cyclisme, mais également dans bien d’autres domaines, car Pierre CHANY était un homme qui connaissait les valeurs de la vie. Le 18 juin 1996, alors qu’il s’apprête à suivre son 50ème Tour de France, la mort vient le cueillir au terme de son dernier Dauphiné Libéré.