Jean-Pierre Marquet, né en 1971, vit et travaille à Nantes et expose depuis 1992 des planches intitulées autofictions. Les premières planches sont regroupées dans une série d'ouvrages qui, en suivant l'équation 12 mois, se décline en 12 livres de 12 chapitres de 12 planches, soit 1728 pages photocopiées et auto éditées. Aujourd'hui, les planches se poursuivent, se déploient et s'exposent sur le blog.
La série de planches autofictions joue avec l’esthétique du carnet, qu’il soit de voyage ou de bord, et détourne les pensées autobiographiques du journal intime pour devenir un livre des possibles.
Collages bricolés, traits spontanés et réflexions pseudo-savantes génèrent une pratique en marge du quotidien. Faites à la main tenant un crayon, les planches tiennent de l'ordre fragile du hasard et de l'intuitif. En associant dessins inachevés et photos trouvées, ratures et remords, oublis et souvenirs, les autofictions sont à regarder, à lire et à deviner.
L'ouvrage Autofictions est un temps de "pause" qui fragmente le calendrier, un mode d'emploi du temps perdu.
Jean-Pierre Marquet, né en 1971, vit et travaille à Nantes et expose depuis 1992 des planches intitulées autofictions. Les premières planches sont regroupées dans une série d'ouvrages qui, en suivant l'équation 12 mois, se décline en 12 livres de 12 chapitres de 12 planches, soit 1728 pages photocopiées et auto éditées. Aujourd'hui, les planches se poursuivent, se déploient et s'exposent sur le blog.
La série de planches autofictions joue avec l’esthétique du carnet, qu’il soit de voyage ou de bord, et détourne les pensées autobiographiques du journal intime pour devenir un livre des possibles.
Collages bricolés, traits spontanés et réflexions pseudo-savantes génèrent une pratique en marge du quotidien. Faites à la main tenant un crayon, les planches tiennent de l'ordre fragile du hasard et de l'intuitif. En associant dessins inachevés et photos trouvées, ratures et remords, oublis et souvenirs, les autofictions sont à regarder, à lire et à deviner.
L'ouvrage Autofictions est un temps de "pause" qui fragmente le calendrier, un mode d'emploi du temps perdu.