La variole, c’est invariable. La varicelle, c’est salé. Je ris, c’est la rigolade. Faut pas mettre la charrue avant d’éclater en sabot. Mon char de charabia aboie du charivari avarié, il s’est fait saboter, la botte au pied. Je me glisse dans le ravin ravi par la falaise, fallait pas se laisser porter par les flots. Ça flotte du ciel, les gouttes m’arrosent, j’y ai goûté à la rosée morose, c’est une jeune pousse de fleur qui me pousse dans le vide, c’est ma vie de rêve qui s’accélère sans en avoir l’air, je fends l’air de rien, je voltige, sa tige entre les doigts, je dois lâcher prise, c’est une prison surprise de passion, son son mélodieux fait de moi un mélomane de mélodrame. Dramatique, l’éclosion de rire comme un cri chaud.
C’est comme ça que j’écris mes dessins.
La variole, c’est invariable. La varicelle, c’est salé. Je ris, c’est la rigolade. Faut pas mettre la charrue avant d’éclater en sabot. Mon char de charabia aboie du charivari avarié, il s’est fait saboter, la botte au pied. Je me glisse dans le ravin ravi par la falaise, fallait pas se laisser porter par les flots. Ça flotte du ciel, les gouttes m’arrosent, j’y ai goûté à la rosée morose, c’est une jeune pousse de fleur qui me pousse dans le vide, c’est ma vie de rêve qui s’accélère sans en avoir l’air, je fends l’air de rien, je voltige, sa tige entre les doigts, je dois lâcher prise, c’est une prison surprise de passion, son son mélodieux fait de moi un mélomane de mélodrame. Dramatique, l’éclosion de rire comme un cri chaud.
C’est comme ça que j’écris mes dessins.