J’ai pris le pseudo « Stoon » en 1986 pour éditer ma première BD. Je suis un véritable autodidacte. J’ai appris à faire de la bande dessinée en lisant des albums de Bilal, Mézières, Druillet, Moebius mais mes influences graphiques viennent plus d’auteurs américains comme Bodé ou Crumb, entre autres…
Déjà à l’âge de 7 ans, quand nous allions avec ma famille au restaurant pour ces longs repas familiaux du dimanche, ma mère n’oubliait jamais d’emmener un stylo pour que je dessine sur des nappes de papier. Plus tard, j’ai commencé à réaliser de petits strips de quelques cases. Ma première bande dessinée ressemblait plutôt à celles que l’on trouvait dans les fanzines.
Je suis infographiste / illustrateur free-lance. Professionnellement, je suis immergé dans un univers créatif depuis 35 ans. Malgré les supports très différents sur lesquels j’ai travaillé, je n’ai jamais arrêté de dessiner. Même si pendant une bonne dizaine d’années, j’ai décidé, par manque de temps, de mettre la BD de côté.
En 2001, j’ai repris les crayons pour faire du dessin de presse puis réaliser un livre pour enfants en collaboration avec un ami scénariste. Mais c’est en 2010 que le projet C.K. est arrivé. Il était la synthèse de tout ce que j’avais en tête depuis plus de 15 ans. C’était surtout la première fois que j’écrivais, seul, un scénario qui tenait la route. Avec sa sortie, en auto-édition, je me suis dit « voilà, j’ai accompli l’album que j’avais envie de faire, je peux maintenant mourir heureux ! ». Par esprit de contradiction, il me prit l’envie de vivre ! Et, donc en faire un 2e, puis un 3e, un 4e, etc…
Ma méthode de travail ? Je réalise toujours un story-board assez poussé au crayon ou au stylo : ce n’est pas la qualité qui importe mais la mise en scène des personnages et des décors. Ensuite je passe au crayonné, c’est la partie la plus créative et la plus intéressante. Après, j’encre au feutre pinceau : cela créé des traits un peu épais, mais comme je travaille sur du A3 pour un format final en A4 ou A5, les traits s’amincissent en donnant une bonne qualité. Enfin je mets les couleurs. Pour mes albums, Un chapeau magique et Avant/Après, j’ai réalisé toutes les planches à l’aquarelle en couleurs directes. Mais pour CK, Pandora’s box, Un pistolet sur la tempe et AZHAR toutes les couleurs ont été faites sur mon ordinateur… c’est plus pratique !
Avec l’arrivée d’outil comme l’iPad pro, j’ai changé ma manière de réaliser mes albums. J’ai dessiné « Une Histoire Sans Fin » directement en numérique sur le logiciel Procreate puis mis en page dans l’outil de PAO Affinity Publisher. Gain de temps et efficacité. Quelque soit l’outil, le plus important c’est la toujours version définitive que le public juge. En 2 décennies, j’ai réalisé et auto-édité des Albums de BD très différents les uns des autres.
J’ai pris le pseudo « Stoon » en 1986 pour éditer ma première BD. Je suis un véritable autodidacte. J’ai appris à faire de la bande dessinée en lisant des albums de Bilal, Mézières, Druillet, Moebius mais mes influences graphiques viennent plus d’auteurs américains comme Bodé ou Crumb, entre autres…
Déjà à l’âge de 7 ans, quand nous allions avec ma famille au restaurant pour ces longs repas familiaux du dimanche, ma mère n’oubliait jamais d’emmener un stylo pour que je dessine sur des nappes de papier. Plus tard, j’ai commencé à réaliser de petits strips de quelques cases. Ma première bande dessinée ressemblait plutôt à celles que l’on trouvait dans les fanzines.
Je suis infographiste / illustrateur free-lance. Professionnellement, je suis immergé dans un univers créatif depuis 35 ans. Malgré les supports très différents sur lesquels j’ai travaillé, je n’ai jamais arrêté de dessiner. Même si pendant une bonne dizaine d’années, j’ai décidé, par manque de temps, de mettre la BD de côté.
En 2001, j’ai repris les crayons pour faire du dessin de presse puis réaliser un livre pour enfants en collaboration avec un ami scénariste. Mais c’est en 2010 que le projet C.K. est arrivé. Il était la synthèse de tout ce que j’avais en tête depuis plus de 15 ans. C’était surtout la première fois que j’écrivais, seul, un scénario qui tenait la route. Avec sa sortie, en auto-édition, je me suis dit « voilà, j’ai accompli l’album que j’avais envie de faire, je peux maintenant mourir heureux ! ». Par esprit de contradiction, il me prit l’envie de vivre ! Et, donc en faire un 2e, puis un 3e, un 4e, etc…
Ma méthode de travail ? Je réalise toujours un story-board assez poussé au crayon […]