Fabienne Cinquin est née dans une famille de professeurs aux Arts décoratifs qui ont su lui transmettre le goût de l’art. Enfant et adolescente, elle aimait beaucoup aller à la bibliothèque de leur école et elle se lançaiy à la découverte de tous les ouvrages avec un plaisir immense. Elle n’en a pas tiré un savoir encyclopédique mais un appétit pour les livres d’images.
Plus tard, à l’Université, un professeur de littérature comparée lui a fait découvrir autrement les classiques de la littérature jeunesse et c’est à ce moment là qu'elle a su qu'elle devait trouver un métier qui allie littérature et image. À cette époque aussi, elle allait aux cours du soir aux beaux-arts de Clermont Ferrand. Même si toutes ces fréquentations d’artistes à travers les livres lui avait sérieusement fait douter de ses éventuels talents d’illustratrice, elle s'est enfin décidée à aller aux beaux arts de Lyon fréquenter l’atelier de Jean Claverie.
Aujourd’hui, elle passe encore et toujours son temps au milieu des livres, des crayons et des pinceaux. Dessiner est devenu une nécessité et elle réalise la chance de pouvoir vivre aujourd’hui de ce métier d’illustratrice. Elle rêve de transmettre elle aussi, aux grands et aux petits, sa passion pour les histoires en images.
Fabienne Cinquin est née dans une famille de professeurs aux Arts décoratifs qui ont su lui transmettre le goût de l’art. Enfant et adolescente, elle aimait beaucoup aller à la bibliothèque de leur école et elle se lançaiy à la découverte de tous les ouvrages avec un plaisir immense. Elle n’en a pas tiré un savoir encyclopédique mais un appétit pour les livres d’images.
Plus tard, à l’Université, un professeur de littérature comparée lui a fait découvrir autrement les classiques de la littérature jeunesse et c’est à ce moment là qu'elle a su qu'elle devait trouver un métier qui allie littérature et image. À cette époque aussi, elle allait aux cours du soir aux beaux-arts de Clermont Ferrand. Même si toutes ces fréquentations d’artistes à travers les livres lui avait sérieusement fait douter de ses éventuels talents d’illustratrice, elle s'est enfin décidée à aller aux beaux arts de Lyon fréquenter l’atelier de Jean Claverie.
Aujourd’hui, elle passe encore et toujours son temps au milieu des livres, des crayons et des pinceaux. Dessiner est devenu une nécessité et elle réalise la chance de pouvoir vivre aujourd’hui de ce métier d’illustratrice. Elle rêve de transmettre elle aussi, aux grands et aux petits, sa passion pour les histoires en images.