Parisienne, Catherine Destivelle s’initie très jeune à l’escalade dans la forêt de Fontainebleau. À 17 ans, elle multiplie les grandes ascensions dans les Alpes. Vers 20 ans, elle se consacre à son métier de kinésithérapeute, mais cinq ans plus tard le goût de l’escalade reprend le dessus ; elle participe aux compétitions internationales d’escalade. À partir de 1990, elle opère un retour à la haute montagne avec une série d’ascensions et d’exploits dont l’ascension en hiver et en solitaire des 3 faces les plus mythiques des Alpes, l’Eiger, les Grandes Jorasses, le Cervin, qui font d’elle la plus brillante alpiniste de sa génération.
Texte et photo © Éditions du Mont-Blanc
Parisienne, Catherine Destivelle s’initie très jeune à l’escalade dans la forêt de Fontainebleau. À 17 ans, elle multiplie les grandes ascensions dans les Alpes. Vers 20 ans, elle se consacre à son métier de kinésithérapeute, mais cinq ans plus tard le goût de l’escalade reprend le dessus ; elle participe aux compétitions internationales d’escalade. À partir de 1990, elle opère un retour à la haute montagne avec une série d’ascensions et d’exploits dont l’ascension en hiver et en solitaire des 3 faces les plus mythiques des Alpes, l’Eiger, les Grandes Jorasses, le Cervin, qui font d’elle la plus brillante alpiniste de sa génération.
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