Né à Alger, Kamel Khélif vit et travaille à Marseille depuis 1964. Après des études dans un lycée d’enseignement professionnel, il devient animateur dans les quartiers Nord de Marseille. Parallèlement, il réalise des illustrations pour différents journaux et revues donnant la parole aux jeunes de banlieue. Depuis 1991, il se consacre entièrement au dessin et participe à diverses manifestations artistiques. Il est apparu par quelques dessins dans l’ouvrage d’Edmond Baudoin, La mort du peintre. Il a depuis signé des illustrations pour Le prophète de Khalil Gibran et Homicide, sur un scénario de Amine Medjidoub. Aux éditions Amok, il a apporté un témoignage sur les quartiers Nord de Marseille avec l’ouvrage Cité Bassens, traverse du mazout avant de publier Les Exilées sur des textes de l’écrivain et psychanalyste Nabile Farès. Ensemble, ils travaillent à une version plus ample de La jeune femme et la Mort, un récit paru dans le cinquième volume de la revue Le Cheval sans tête.
Texte © Frémok
Né à Alger, Kamel Khélif vit et travaille à Marseille depuis 1964. Après des études dans un lycée d’enseignement professionnel, il devient animateur dans les quartiers Nord de Marseille. Parallèlement, il réalise des illustrations pour différents journaux et revues donnant la parole aux jeunes de banlieue. Depuis 1991, il se consacre entièrement au dessin et participe à diverses manifestations artistiques. Il est apparu par quelques dessins dans l’ouvrage d’Edmond Baudoin, La mort du peintre. Il a depuis signé des illustrations pour Le prophète de Khalil Gibran et Homicide, sur un scénario de Amine Medjidoub. Aux éditions Amok, il a apporté un témoignage sur les quartiers Nord de Marseille avec l’ouvrage Cité Bassens, traverse du mazout avant de publier Les Exilées sur des textes de l’écrivain et psychanalyste Nabile Farès. Ensemble, ils travaillent à une version plus ample de La jeune femme et la Mort, un récit paru dans le cinquième volume de la revue Le Cheval sans tête.
Texte © Frémok