Atsuko Asano, née dans la préfecture d'Okayama, est une des auteurs pour la jeunesse les plus populaires et primées au Japon. Elle a commencé à écrire des romans pour les jeunes enfants, alors qu'elle était au Collège d'Aoyama Gakuin.
Elle est notamment l'auteur de la série pour enfants "Shōjo Ran et le manga le Manzai Comics". Après son diplôme au collège d'Aoyama Gakuin, elle se spécialise dans le domaine de la littérature. Son premier roman publié fut : Hotaru-kan monogatari.
Révélée dans sa série Battery (vendue à plus de 10 millions d'exemplaires), elle a reçu le prix Noma de littérature jeunesse en 1997, qui fut ensuite adapté au cinéma pour la série Battery, ainsi que le prix de l'Association japonaise des écrivains pour la jeunesse en 1999. Elle écrit en 2003, N°6 qui aura un grand succès au japon et dans de nombreux pays.
Ce travail lui vaudra le prix de la Culture des enfants Shogakukan Publication en 2005. Son œuvre fut également présenté dans le journal Mainichi Shinbun, et son travail apparaît souvent dans les magazines littéraires.
Texte et photo © NautilJon
Atsuko Asano, née dans la préfecture d'Okayama, est une des auteurs pour la jeunesse les plus populaires et primées au Japon. Elle a commencé à écrire des romans pour les jeunes enfants, alors qu'elle était au Collège d'Aoyama Gakuin.
Elle est notamment l'auteur de la série pour enfants "Shōjo Ran et le manga le Manzai Comics". Après son diplôme au collège d'Aoyama Gakuin, elle se spécialise dans le domaine de la littérature. Son premier roman publié fut : Hotaru-kan monogatari.
Révélée dans sa série Battery (vendue à plus de 10 millions d'exemplaires), elle a reçu le prix Noma de littérature jeunesse en 1997, qui fut ensuite adapté au cinéma pour la série Battery, ainsi que le prix de l'Association japonaise des écrivains pour la jeunesse en 1999. Elle écrit en 2003, N°6 qui aura un grand succès au japon et dans de nombreux pays.
Ce travail lui vaudra le prix de la Culture des enfants Shogakukan Publication en 2005. Son œuvre fut également présenté dans le journal Mainichi Shinbun, et son travail apparaît souvent dans les magazines littéraires.
Texte et photo © NautilJon