Dès son enfance, Didier Eberoni est passionné par le dessin et la peinture. Après son passage par l’école des Arts Appliquées, il poursuit en autodidacte. Influencé par Druillet, Moebius, ou encore Nicollet, il intègre très jeune l’équipe de Métal Hurlant, dont il devient l’un des auteurs phare. « Une époque fascinante, mais très dense », qui a marqué à vie son approche du dessin et de la bande dessinée. Son style se nourrit également de l’œuvre d’artistes contemporains comme Serra, Morandi ou Balthus. De sa rencontre avec Rodolphe, naît son premier album, Le Centaure mécanique, publié en 1982 aux Humanoïdes Associés. Il collabore également avec Druillet, Lob ou Frada, et met en images des histoires parues dans Rock&Folk;, Pilote et L’Echo des Savanes. Avec Deux vies, paru en 2008, il signe son retour dans la bande dessinée, grâce à un récit écrit sur mesure pour lui par Tiburce Oger.
Texte et photo © Daniel Maghen
Dès son enfance, Didier Eberoni est passionné par le dessin et la peinture. Après son passage par l’école des Arts Appliquées, il poursuit en autodidacte. Influencé par Druillet, Moebius, ou encore Nicollet, il intègre très jeune l’équipe de Métal Hurlant, dont il devient l’un des auteurs phare. « Une époque fascinante, mais très dense », qui a marqué à vie son approche du dessin et de la bande dessinée. Son style se nourrit également de l’œuvre d’artistes contemporains comme Serra, Morandi ou Balthus. De sa rencontre avec Rodolphe, naît son premier album, Le Centaure mécanique, publié en 1982 aux Humanoïdes Associés. Il collabore également avec Druillet, Lob ou Frada, et met en images des histoires parues dans Rock&Folk;, Pilote et L’Echo des Savanes. Avec Deux vies, paru en 2008, il signe son retour dans la bande dessinée, grâce à un récit écrit sur mesure pour lui par Tiburce Oger.
Texte et photo © Daniel Maghen