Fabrizio Galliccia : J'ai commencé à dessiner assez tard, c'était la dernière année du lycée, alors que j'étais dans l'armée j'ai commencé à fréquenter l'École romaine de bande dessinée, où après trois ans de cours j'ai collaboré comme professeur de laboratoire.
Je m'inspire de l'école réaliste italienne et des grands maîtres qui l'ont caractérisée au fil des années, je dois dire que je suis aussi attiré par le style américain, notamment par les auteurs les plus sombres , et je ne dédaigne pas les productions artistiques de l'école franco-belge.
Mon style est définitivement réaliste, quand je le peux, ou quand la ligne éditoriale le permet, j'essaie de le rendre plus sale, de créer des ambiances et des sensations plus sombres, tendant vers le noir.
Fabrizio Galliccia : J'ai commencé à dessiner assez tard, c'était la dernière année du lycée, alors que j'étais dans l'armée j'ai commencé à fréquenter l'École romaine de bande dessinée, où après trois ans de cours j'ai collaboré comme professeur de laboratoire.
Je m'inspire de l'école réaliste italienne et des grands maîtres qui l'ont caractérisée au fil des années, je dois dire que je suis aussi attiré par le style américain, notamment par les auteurs les plus sombres , et je ne dédaigne pas les productions artistiques de l'école franco-belge.
Mon style est définitivement réaliste, quand je le peux, ou quand la ligne éditoriale le permet, j'essaie de le rendre plus sale, de créer des ambiances et des sensations plus sombres, tendant vers le noir.