De 1990 à 2000, il collabore avec des magazines indépendants, dans les domaines de la bande dessinée, du cinéma et du théâtre, en tant que scénariste, journaliste, critique et rédacteur en chef. Après des études hôtelières et un diplôme de cuisinier, en plus d'exercer ce métier, il a occupé mille emplois pour payer ses études à l'Université d'État de Milan, où il a étudié l'histoire médiévale. Les débuts dans le monde professionnel de l'écriture pour la bande dessinée remontent à 2000, lorsque Perniola a fondé le studio graphique ArtNu, Artigiani delle Nuvole : d'ici en 2001, il a créé la série Anno Domini, avec un cadre médiéval et humoristique, mais avec des références explicites à l'actualité, publié par Edizioni i Libri Scuola del Fumetto. Entre-temps, il produit diverses bandes dessinées, pour la publicité et les organes internes. En 2005, cependant, la rencontre avec Sergio Bonelli Editore a lieu : un tournant important que Perniola lui-même rappelle ainsi : À l'époque j'écrivais Anno Domini et la BD marchait tellement bien qu'on songeait à en faire un spectacle théâtral : une coproduction italo-française. Au bout d'un mois pourtant, mon éditeur a disparu avec l'argent et avec son amant et n'a jamais été retrouvé et peu de temps après le metteur en scène a également disparu avec l'argent de la compagnie de théâtre, sans laisser de trace : une histoire digne de Martin Mystère ! Mais à ce moment-là, sans travail, en tant qu'auteur, j'ai décidé de franchir le pas et j'ai envoyé un de mes sujets pour Zagor à Bonelli. Les commissaires Mauro Boselli et Moreno Burattini m'ont donné le feu vert pour deux albums : j'ai écrit de 48 à 188 tableaux en un instant. C'était difficile, mais excitant. »
Dès lors, il a commencé sa collaboration avec Sergio Bonelli Editore, d'abord sur Zagor , conçu par Sergio Bonelli lui-même, pour ensuite devenir l'interlocuteur numéro un également pour Nathan Never , après le passage à Dragonero du précédent scénariste principal, Stefano Vietti.
En 2011, il crée Battiti di Legalità, une histoire de la mafia : un volume consacré à la lutte contre la criminalité qui obtient le patronage de l' Association nationale des magistrats sous la houlette du président Luca Palamara et l'introduction du président de la République italienne Giorgio Napolitano .
Entre mars et juillet 2012, avec la sortie en kiosque, le premier point de départ de Nathan ne voit jamais la lumière, un projet auquel Perniola a consacré des années de travail : l'histoire, se déroulant pour les cinq numéros, se déclenche dans la longue saga de l'Agent Alfa, à la fois en révélant de nouveaux détails aux lecteurs historiques - résumant toute l'histoire, qui a commencé en 1991 - et en introduisant dans la narration ceux qui ne l'étaient pas. L'opération à quatre mains avec son collègue Davide Rigamonti représente un point très significatif dans les vingt ans d'histoire de la série, destinée à faire de la littérature : en effet, le long de ces cinq "chapitres", de nombreuses informations sont fournies et fixées (certaines déjà connues, d'autres inédites) relatives au canon de Nathan Never, ou plutôt des éléments qui seront toujours essentiels.
De 1990 à 2000, il collabore avec des magazines indépendants, dans les domaines de la bande dessinée, du cinéma et du théâtre, en tant que scénariste, journaliste, critique et rédacteur en chef. Après des études hôtelières et un diplôme de cuisinier, en plus d'exercer ce métier, il a occupé mille emplois pour payer ses études à l'Université d'État de Milan, où il a étudié l'histoire médiévale. Les débuts dans le monde professionnel de l'écriture pour la bande dessinée remontent à 2000, lorsque Perniola a fondé le studio graphique ArtNu, Artigiani delle Nuvole : d'ici en 2001, il a créé la série Anno Domini, avec un cadre médiéval et humoristique, mais avec des références explicites à l'actualité, publié par Edizioni i Libri Scuola del Fumetto. Entre-temps, il produit diverses bandes dessinées, pour la publicité et les organes internes. En 2005, cependant, la rencontre avec Sergio Bonelli Editore a lieu : un tournant important que Perniola lui-même rappelle ainsi : À l'époque j'écrivais Anno Domini et la BD marchait tellement bien qu'on songeait à en faire un spectacle théâtral : une coproduction italo-française. Au bout d'un mois pourtant, mon éditeur a disparu avec l'argent et avec son amant et n'a jamais été retrouvé et peu de temps après le metteur en scène a également disparu avec l'argent de la compagnie de théâtre, sans laisser de trace : une histoire digne de Martin Mystère ! Mais à ce moment-là, sans travail, en tant qu'auteur, j'ai décidé de franchir le pas et j'ai envoyé un de mes sujets pour Zagor à Bonelli. Les commissaires Mauro Boselli et Moreno Burattini m'ont donné le feu vert pour deux albums : j'ai écrit de 48 à 188 tableaux en un instant. C'était difficile, mais excitant. »
Dès lors, il a commencé sa collaboration avec Sergio Bonelli Editore, d'abord sur Zagor , conçu par Sergio Bonelli lui-même, pour ensuite devenir l'interlocuteur numéro un également pour Nathan Never , après le passage à Dragonero du précédent scénariste principal, Stefano […]
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Dragonero (en italien)
