Frédéric Garcès pensait faire depuis longtemps une bande dessinée. Un séjour d’un an et demi aux Etats-Unis, où il ne pouvait travailler sans carte verte, lui permet de réaliser ce rêve. Cet infographiste de profession trouve dans la socièté américaine le décor sombre et cruel de son «Cauchemar américain». On y ressent les influences croisées d’un Tardi ou d’un Chauvel, tout autant que celles de Paul Auster ou de John Irving.
Cependant la source originelle de cette bande dessinée, de la bouche même de son auteur, est un article d’Edward Behr, paru dans Newsweek, «Une Amérique qui fait peur». Le réalisme est donc le maître mot de ce récit. Frédéric Garcès s’est baladé dans les rues américaines, il a prit des photos et s’est plongé dans les faits divers, afin de transmettre à cette première œuvre sa force et son actualité. L’atmosphère de violence traditionnellement attachée aux Etats-Unis sert de toile de fond à son intrigue policière mais on perçoit en filigrane l’attachement de l’auteur pour ce pays et ses habitants.
Source : Editions-Delcourt.fr
Frédéric Garcès pensait faire depuis longtemps une bande dessinée. Un séjour d’un an et demi aux Etats-Unis, où il ne pouvait travailler sans carte verte, lui permet de réaliser ce rêve. Cet infographiste de profession trouve dans la socièté américaine le décor sombre et cruel de son «Cauchemar américain». On y ressent les influences croisées d’un Tardi ou d’un Chauvel, tout autant que celles de Paul Auster ou de John Irving.
Cependant la source originelle de cette bande dessinée, de la bouche même de son auteur, est un article d’Edward Behr, paru dans Newsweek, «Une Amérique qui fait peur». Le réalisme est donc le maître mot de ce récit. Frédéric Garcès s’est baladé dans les rues américaines, il a prit des photos et s’est plongé dans les faits divers, afin de transmettre à cette première œuvre sa force et son actualité. L’atmosphère de violence traditionnellement attachée aux Etats-Unis sert de toile de fond à son intrigue policière mais on perçoit en filigrane l’attachement de l’auteur pour ce pays et ses habitants.
Source : Editions-Delcourt.fr
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Cauchemar américain
