Walter Goossens dit Walt, fils de Roland Goossens dit Gos, est né à Bruxelles (Watermael—Boitsfort) le 16 septembre 1966 d’une mère française. Très tôt il s’est intéressé au dessin et plus particulièrement au travail de son père et à la bande dessinée en général. On peut donc dire qu’il est tombé dans la « culture franco-belge » quand il était petit. À l’âge de trois ans, il rampe sous la table de travail paternelle et réussit à y renverser le pot d’encre de Chine sur une planche ! Bel intérêt pour le métier qu’il confirmera quelques années plus tard en récidivant avec une tasse de café… Après ces avatars, l’intérêt de Walter sera plus évident : il s’initie à la lecture en dévorant (des yeux uniquement !) les B.D. de la bibliothèque familiale et s’exerce au maniement de la plume, dès l’âge de dix ans, en apprenant le lettrage. Impatient de se préparer professionnellement, Walt s’inscrit dès l’age de 12 ans à l’Ecole des Arts d’Anderlecht (Bruxelles), où il suit les cours pendant six ans. En 1982 –il a seize ans- Walt se lance aux côtés de Gos, dans la réalisation des planches du Scrameustache. Pour ses débuts dans La saga de Thorgull, il commence par l’encrage des textes et des décors ; dans Le Secret des Trolls et Les Kromoks en folie, à côté de l’encrage, il se lance dans la finition des dessins. Dans Le Stagiaire, la petite histoire Le Satellite fou est réalisée presque entièrement par lui seul (scénario et dessin). En 1989, dans l’album numéro 19, Les Figueuleuses, Walt produit le synopsis original, collabore au scénario, à la finition du dessin et s’occupe encore de l’encrage et du lettrage. Dans l’album Le bêtisier galaxien, il assure seul le dessin et dans les deux albums Le Président galaxien et Tempête chez lesFigueuleuses, il gère scénario et dessin, animant ces personnages qu’il a créés. Depuis une vingtaine d’albums, Walt et Gos collaborent donc de manière variable ; Walt s’occupe aussi du développement des Galaxiens, ces petits extraterrestres verts, sympas et facétieux, qui ont pris une place prépondérante dans l’univers du Scrameustache.
Texte © Glénat
Walter Goossens dit Walt, fils de Roland Goossens dit Gos, est né à Bruxelles (Watermael—Boitsfort) le 16 septembre 1966 d’une mère française. Très tôt il s’est intéressé au dessin et plus particulièrement au travail de son père et à la bande dessinée en général. On peut donc dire qu’il est tombé dans la « culture franco-belge » quand il était petit. À l’âge de trois ans, il rampe sous la table de travail paternelle et réussit à y renverser le pot d’encre de Chine sur une planche ! Bel intérêt pour le métier qu’il confirmera quelques années plus tard en récidivant avec une tasse de café… Après ces avatars, l’intérêt de Walter sera plus évident : il s’initie à la lecture en dévorant (des yeux uniquement !) les B.D. de la bibliothèque familiale et s’exerce au maniement de la plume, dès l’âge de dix ans, en apprenant le lettrage. Impatient de se préparer professionnellement, Walt s’inscrit dès l’age de 12 ans à l’Ecole des Arts d’Anderlecht (Bruxelles), où il suit les cours pendant six ans. En 1982 –il a seize ans- Walt se lance aux côtés de Gos, dans la réalisation des planches du Scrameustache. Pour ses débuts dans La saga de Thorgull, il commence par l’encrage des textes et des décors ; dans Le Secret des Trolls et Les Kromoks en folie, à côté de l’encrage, il se lance dans la finition des dessins. Dans Le Stagiaire, la petite histoire Le Satellite fou est réalisée presque entièrement par lui seul (scénario et dessin). En 1989, dans l’album numéro 19, Les Figueuleuses, Walt produit le synopsis original, collabore au scénario, à la finition du dessin et s’occupe encore de l’encrage et du lettrage. Dans l’album Le bêtisier galaxien, il assure seul le dessin et dans les deux albums Le Président galaxien et Tempête chez lesFigueuleuses, il gère scénario et dessin, animant ces personnages qu’il a créés. Depuis une vingtaine d’albums, Walt et Gos collaborent donc de manière variable ; Walt s’occupe aussi du développement des Galaxiens, ces petits extraterrestres verts, sympas […]