Un parcours plutôt libre, d’abord couvé sous un Poirier, Bilitis a commencé par caqueter du côté de la Commedia Dell'arte, elle a gratté la terre des ateliers de Haute Couture parisiens, puis fardés des becs de poules au cinématographe. Elle s'est nichée dans les coulisses avec son argentique et a déployé ses ailes par delà les frontières de la basse-cour, confectionnant des huppes sur mesures pour têtes de luxe, avant de revenir à l’assemblage de clichés, de films beauté et de documentaires. Il lui restait quelques plumes sur le plastron pour imaginer « Plumifère », sculptures à l’aiguille de plantes imaginaires. Aujourd’hui, elle remet la main à la plume, couleur encre de Chine.
Un parcours plutôt libre, d’abord couvé sous un Poirier, Bilitis a commencé par caqueter du côté de la Commedia Dell'arte, elle a gratté la terre des ateliers de Haute Couture parisiens, puis fardés des becs de poules au cinématographe. Elle s'est nichée dans les coulisses avec son argentique et a déployé ses ailes par delà les frontières de la basse-cour, confectionnant des huppes sur mesures pour têtes de luxe, avant de revenir à l’assemblage de clichés, de films beauté et de documentaires. Il lui restait quelques plumes sur le plastron pour imaginer « Plumifère », sculptures à l’aiguille de plantes imaginaires. Aujourd’hui, elle remet la main à la plume, couleur encre de Chine.