Marion Nail travaille dans le monde du dessin animé : elle les dessine et les anime. Arrivée dans le Finistère il y a quelques années, elle revient sur son parcours. « Après un bac littéraire arts plastiques et des cours du soir aux Beaux-Arts de Nantes, j’ai fait une année préparatoire à l’école Pivaut de Nantes, puis quatre ans à l’école Émile-Cohl de Lyon, avec l’option cinéma d’animation. J’ai donc une formation traditionnelle de dessin à l’issue de laquelle je me suis retrouvée sur le marché de l’emploi et j’avoue que là, j’ai un peu galéré. »
Ses recherches n’aboutissent pas. Elle décide donc « de prendre un peu de temps pour moi. J’ai fait une partie du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est au cours de ce périple que j’ai rencontré le producteur qui m’a engagée et qui s’avère être, sept ans après, toujours mon principal client. »
« Une artiste “couteau suisse”, c’est comme ça que mes amis m’appelaient pendant mes années de formation, se souvient-elle. Je travaillais vite, j’ai donc beaucoup participé aux projets des autres. J’adorais les aider. Et comme je suis une véritable touche-à-tout, cela m’a valu ce surnom. »
Marion Nail travaille dans le monde du dessin animé : elle les dessine et les anime. Arrivée dans le Finistère il y a quelques années, elle revient sur son parcours. « Après un bac littéraire arts plastiques et des cours du soir aux Beaux-Arts de Nantes, j’ai fait une année préparatoire à l’école Pivaut de Nantes, puis quatre ans à l’école Émile-Cohl de Lyon, avec l’option cinéma d’animation. J’ai donc une formation traditionnelle de dessin à l’issue de laquelle je me suis retrouvée sur le marché de l’emploi et j’avoue que là, j’ai un peu galéré. »
Ses recherches n’aboutissent pas. Elle décide donc « de prendre un peu de temps pour moi. J’ai fait une partie du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. Aussi étonnant que cela puisse paraître, c’est au cours de ce périple que j’ai rencontré le producteur qui m’a engagée et qui s’avère être, sept ans après, toujours mon principal client. »
« Une artiste “couteau suisse”, c’est comme ça que mes amis m’appelaient pendant mes années de formation, se souvient-elle. Je travaillais vite, j’ai donc beaucoup participé aux projets des autres. J’adorais les aider. Et comme je suis une véritable touche-à-tout, cela m’a valu ce surnom. »