James Stevenson a passé son enfance dans plusieurs petites villes au nord de New York. Il partageait ses loisirs entre la lecture des bandes dessinées, l'écoute de la radio et les séances de cinéma. Alors qu'il est encore étudiant en anglais à l'Université de Yale, il place ses premiers "cartoons". Au milieu des années 50, il entre au service artistique du "New Yorker".
James Stevenson dit volontiers qu'il aime écrire, qu'il aime dessiner, qu'il aime surtout créer des albums pour les enfants parce qu'il peut ainsi raconter des histoires avec autre chose que des mots. Ses histoires mettent souvent en scène un grand-père aux moustaches rassurantes qui, d'un ton flegmatique, narre à ses deux petits-enfants des histoires rocambolesques du passé, leur faisant ainsi oublier leurs soucis d'aujourd'hui.
Texte et photo © Babelio
James Stevenson a passé son enfance dans plusieurs petites villes au nord de New York. Il partageait ses loisirs entre la lecture des bandes dessinées, l'écoute de la radio et les séances de cinéma. Alors qu'il est encore étudiant en anglais à l'Université de Yale, il place ses premiers "cartoons". Au milieu des années 50, il entre au service artistique du "New Yorker".
James Stevenson dit volontiers qu'il aime écrire, qu'il aime dessiner, qu'il aime surtout créer des albums pour les enfants parce qu'il peut ainsi raconter des histoires avec autre chose que des mots. Ses histoires mettent souvent en scène un grand-père aux moustaches rassurantes qui, d'un ton flegmatique, narre à ses deux petits-enfants des histoires rocambolesques du passé, leur faisant ainsi oublier leurs soucis d'aujourd'hui.
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