Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Taha Siddiqui est un journaliste d'investigation pakistanais vivant en exil en France depuis 2018. Il a fondé the DISSIDENT club, un bar à Paris where dissidents of the world meet. Il est aussi enseignant à SciencesPo Paris et continue d'écrire pour plusieurs journaux internationaux. Au Pakistan, il a été correspondant pour plusieurs médias internationaux dont le New York Times, le Guardian et France24. En 2014, il reçoit le Prix Albert Londres pour son travail sur "La guerre de la polio". Il a dû fuir le Pakistan après avoir survécu à une tentative d'assassinat perpétrée supposément par les services secrets de l’armée du pays afin d'en finir avec ses reportages d'investigation. Taha Siddiqui aime voyager et particulièrement à Marseille qui lui rappelle Karachi, sa ville de cœur.
Taha Siddiqui est un journaliste d'investigation pakistanais vivant en exil en France depuis 2018. Il a fondé the DISSIDENT club, un bar à Paris where dissidents of the world meet. Il est aussi enseignant à SciencesPo Paris et continue d'écrire pour plusieurs journaux internationaux. Au Pakistan, il a été correspondant pour plusieurs médias internationaux dont le New York Times, le Guardian et France24. En 2014, il reçoit le Prix Albert Londres pour son travail sur "La guerre de la polio". Il a dû fuir le Pakistan après avoir survécu à une tentative d'assassinat perpétrée supposément par les services secrets de l’armée du pays afin d'en finir avec ses reportages d'investigation. Taha Siddiqui aime voyager et particulièrement à Marseille qui lui rappelle Karachi, sa ville de cœur.
Les tableaux synthéthiques ci-dessous peuvent être faussés par des éditions anniversaires (souvent post-mortem). Ils ne tiennent pas compte des autres pseudonymes sous lequel signe cet auteur.