Sophie Darcq est née le 5 juin 1976 à Daejon (Corée du Sud) et est arrivée en France à l’âge de quatre ans avec ses trois sœurs. Elles seront adoptées par un couple ayant déjà une fille. Après un bac Arts plastiques à Limoges, elle intègre la section bande dessinée de l’École Supérieure de l’Image d’Angoulême dont elle sort diplômée quatre années plus tard. Sophie Darcq pratique le dessin, privilégiant le noir et blanc au trait. Elle le met au service d’histoires courtes destinées à des fanzines et revues collectives. En 2004, un voyage marquant dans son pays natal, la Corée du Sud, lui apporte la trame d’un projet de plus grande envergure : le récit de son histoire et celle de sa famille. Il s’agit de mettre en scène son voyage et de raconter les bouleversements qu’il entraîne. Depuis août 2005, elle travaille sur ce projet autobiographique et elle continue de participer à des sites et à des revues collectives (Coconino World, Le Nouveau Journal de Judith et Marinette). Dans Hanbok, l’autrice raconte cette expérience marquante en utilisant différents styles, du registre épistolaire à la narration historique.
Sophie Darcq est née le 5 juin 1976 à Daejon (Corée du Sud) et est arrivée en France à l’âge de quatre ans avec ses trois sœurs. Elles seront adoptées par un couple ayant déjà une fille. Après un bac Arts plastiques à Limoges, elle intègre la section bande dessinée de l’École Supérieure de l’Image d’Angoulême dont elle sort diplômée quatre années plus tard. Sophie Darcq pratique le dessin, privilégiant le noir et blanc au trait. Elle le met au service d’histoires courtes destinées à des fanzines et revues collectives. En 2004, un voyage marquant dans son pays natal, la Corée du Sud, lui apporte la trame d’un projet de plus grande envergure : le récit de son histoire et celle de sa famille. Il s’agit de mettre en scène son voyage et de raconter les bouleversements qu’il entraîne. Depuis août 2005, elle travaille sur ce projet autobiographique et elle continue de participer à des sites et à des revues collectives (Coconino World, Le Nouveau Journal de Judith et Marinette). Dans Hanbok, l’autrice raconte cette expérience marquante en utilisant différents styles, du registre épistolaire à la narration historique.