Né le 15 février 1973, Alain Henriet nourrit dès son plus jeune âge ses appétits bédéphiles dans les Stranges qu'il achetait en occasion sur les marchés, mais également dans Mickey Magazine, puis dans diverses séries de chez Dupuis, comme Le Scrameustache et Les Tuniques Bleues. Adolescent, il se détourne de la BD pour le cinéma. Il reviendra à la BD grâce aux comics vers 16 ans, ce qui l'amènera à commencer ses premières planches vers 17 ans. Vers 19 ans il s'inscrit au cours du soir de Philippe Foerster et de Gérard Goffaux à Jemappes, qu'il suit pendant trois ans. Il y rencontre Baloo. Après les humanités, il s'inscrit à l'académie des beaux-arts de Liège. Ses premières publications arriveront à cette époque, il participera à l'aventure du magazine ''Brazil'' dans les trois numéros existants. Ensuite, il publiera diverses illustrations dans ''L'inédit''… Il y passera régulièrement, du numéro 2 au numéro 12, sur lequel il fera sa première couverture. À l'époque, Baloo écrit une histoire courte qui était destinée à la base à un dessin humoristique. Alain la dessine. Comme leur collaboration fonctionne d'emblée très bien, ils décident de faire un récit plus long (scénario que Baloo avait déjà sous le coude également), une histoire décalée, ce récit plaît tant à Tony Larivière (éditeur de ''L'inédit'') que celui-ci décide de publier le récit complet. Naîtra alors la première version d'une curieuse histoire de pizza, sous la forme d'un comics en N/B tiré à 600 exemplaires (''Une pizza à l'oeil''en 1996). Forts de ce premier succès, ils travaillent ensuite sur un projet de SF, qui ne sortira pas. À l'époque, toujours à l'académie de Liège, Alain gagne un concours de BD organisé par le journal de Spirou (deux planches publiées dans le numéro 3044), il se retrouve à jongler dans sa dernière année d’études entre la rédaction du journal (où il était en stage) et l'école. De là naîtront ses premières planches dans le journal de Spirou. Après un an de stage à la rédaction et l'académie finie, Alain reprend sa liberté. Féru d'histoires de loups-garous, il prépare un dossier et s’en va frapper aux portes des éditeurs à Angoulême. De là naîtra la série Le Portail aux éditions du Téméraire avec Olier au scénario. Le deuxième album fini, l'éditeur annonce la faillite de la boite avec pour conséquence un deuxième album qui ne sortira que quatre années plus tard aux éditions Point images (en N/B, tiré à 700 exemplaires). Il fera également deux couvertures pour Kiwi (dont le numéro 540 dans lequel figure une histoire courte de loup-garou de 16 pages: Morsure le champ). En 1998, Alain est engagé à la rédaction de Spirou magazine comme correcteur et maquettiste. Il y travaille toujours, mais uniquement le mardi. C'est lors d'un festival qu'il rencontre Olivier Vatine. Celui-ci préfère la première version d'Une pizza à l'oeil à leur projet de S.F. Le soir même ils décident de relancer la machine du tueur aux péripéties humoristiques. De là suivra la trilogie John Doe aux éditions Delcourt. La série finie, les protagonistes décident de prendre chacun leur envol. À cette même époque, Vatine cherchait un dessinateur pour la série Golden Cup. Fort de leur collaboration sur John Doe, celui-ci propose la série à Alain. De là suivra la collaboration avec le scénariste Daniel Pecqueur et, par la suite, la rencontre avec Manchu (grand spécialiste de science fiction) pour les designs très réalistes des véhicules. Alain signera également avec les éditions Dupuis pour un album ( Pandora Box - L'envie avec Alcante au scénario) qui verra le jour courrant 2005.
Né le 15 février 1973, Alain Henriet nourrit dès son plus jeune âge ses appétits bédéphiles dans les Stranges qu'il achetait en occasion sur les marchés, mais également dans Mickey Magazine, puis dans diverses séries de chez Dupuis, comme Le Scrameustache et Les Tuniques Bleues. Adolescent, il se détourne de la BD pour le cinéma. Il reviendra à la BD grâce aux comics vers 16 ans, ce qui l'amènera à commencer ses premières planches vers 17 ans. Vers 19 ans il s'inscrit au cours du soir de Philippe Foerster et de Gérard Goffaux à Jemappes, qu'il suit pendant trois ans. Il y rencontre Baloo. Après les humanités, il s'inscrit à l'académie des beaux-arts de Liège. Ses premières publications arriveront à cette époque, il participera à l'aventure du magazine ''Brazil'' dans les trois numéros existants. Ensuite, il publiera diverses illustrations dans ''L'inédit''… Il y passera régulièrement, du numéro 2 au numéro 12, sur lequel il fera sa première couverture. À l'époque, Baloo écrit une histoire courte qui était destinée à la base à un dessin humoristique. Alain la dessine. Comme leur collaboration fonctionne d'emblée très bien, ils décident de faire un récit plus long (scénario que Baloo avait déjà sous le coude également), une histoire décalée, ce récit plaît tant à Tony Larivière (éditeur de ''L'inédit'') que celui-ci décide de publier le récit complet. Naîtra alors la première version d'une curieuse histoire de pizza, sous la forme d'un comics en N/B tiré à 600 exemplaires (''Une pizza à l'oeil''en 1996). Forts de ce premier succès, ils travaillent ensuite sur un projet de SF, qui ne sortira pas. À l'époque, toujours à l'académie de Liège, Alain gagne un concours de BD organisé par le journal de Spirou (deux planches publiées dans le numéro 3044), il se retrouve à jongler dans sa dernière année d’études entre la rédaction du journal (où il était en stage) et l'école. De là naîtront ses premières planches dans le journal de Spirou. Après un an de stage à la rédaction et […]